580 Pflanzen (Botanik)
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Anhand eines Datensatzes von 1.708 Vegetationsaufnahmen aus 154 bayerischen Naturwaldreservaten wurde die realisierte ökologische Nische von 25 Baumarten hinsichtlich Lichtbedarf bzw. Schattentoleranz untersucht. Für jede Baumart wurde die Stetigkeit des Vorkommens in Baumschicht und Verjüngung berechnet. Für jede Aufnahme wurde die dem Bestandesunterwuchs zur Verfügung stehende Lichtmenge durch Berechnung des mittleren ungewichteten Licht-Zeigerwertes (mL) aller vorkommenden Arten (ohne Baumschicht) auf einer Relativskala geschätzt. Für jede 0,5-Einheiten-Stufe von mL wurde die Präferenz jeder Baumart, getrennt nach Baum- (> 5m) und Verjüngungsschicht (< 5m), als Differenz zwischen relativer Häufigkeit der jeweiligen Art und der relativen Häufigkeit aller Aufnahmen in der mL-Stufe im gesamten Datensatz berechnet. Die Präferenzprofile von Baumschicht und Verjüngungsschicht bildeten die Grundlage einer numerischen Klassifikation von 6 lichtökologischen Nischen typen. Diese Typen werden hinsichtlich ihrer Bindung an bestimmte Entwicklungsphasen und Strukturen der natürlichen Walddynamik diskutiert, mit geläufigen Einteilungen der Baumarten verglichen und im Hinblick auf eine Prognose des Verhaltens unter sich ändernden Umweltbedingungen ausgewertet. – Während sich Edellaubbäume des Tilio-Acerion in den Reservaten sehr ähnlich wie Fagus und Abies verhalten, bilden die Baumarten der Eichenmischwälder eine lichtökologische Gruppe mit rückläufiger Verjüngungstendenz. Unter den übrigen Halbschattbaumarten hebt sich eine Gruppe heraus, welche sich in geschlossenen Beständen vorausverjüngt und nach Störung in die Baumschicht vordringt. Pionierbaumarten bleiben in Naturwaldreservaten weitestgehend auf Sonderstandorte, wo ihre Verjüngung viel Licht vorfindet, beschränkt.
Les végétations arbustives des voisinages des cours d’eau ont été étudiées à partir de 34 relevés phytosociologiques réalisés entre septembre 2001 et décembre 2003, en utilisant la méthode phytosociologique de Braun Blanquet. Deux associations végétales en sont décrites: Feretio-Khayetum senegalensis et Celtido-Diospyroetum mespiliformis. Une alliance nouvelle et un ordre nouveau sont créés pour les regrouper. Il s’agit du Feretio-Khayion senegalensis et du Diospyro-Khayetalia senegalensis. Cet ordre rassemble les groupements vallicoles de la zone de transition soudano sahélienne et est considéré comme vicariante géographique du Pterygotetalia Lebrun et Gilbert 1954. Aussi, le Diospyro-Khayion senegalensis all. nov est consirédéré comme vicariante géographique du Khayo-Pterygotion Schmitz 1950 et du Psychotrio-Tecleion Schmitz 1971. Mots clés: Diospyro-Khayetalia senegalensis, Diospyro-Khayion senegalensis, Parc Régional du W du fleuve Niger
Les résultats de 227 relevés phytosociologiques selon l’approche phytosociologique effectuées au Parc Urbain Bangr-Wéoogo de Braun-Blanquet (1932) montrent que malgré son contexte de forte pression anthropique avec plus d´un million d’habitants aux alentours, cette forêt urbaine conserve encore de nos jours une diversité floristique appréciable avec 327 espèces inventoriées comprenant 117 espèces ligneuses et 210 espèces herbacées. Cette flore qui est répartie dans 11 groupements individualisés grâce aux espèces différentielles, est constituée essentiellement de phanérophytes et de thérophytes. La répartition phytogéographique des espèces montre leur appartenance à plusieurs empires phytogéographiques dominés par les espèces Soudano-Zambeziennes et Pantropicales. La richesse floristique du parc qui contraste avec son environnement, est le résultat d’une politique d’aménagement et de conservation efficace de la biodiversité initiée par l'État et ses partenaires depuis 1936. Mots clés: Flore, conservation, aménagement, spectre biologique, Parc Urbain, Ouagadougou, Burkina Faso, groupements végétaux
L´analyse de dix groupements ligneux et dix espèces dominantes a été faite du nombre de tiges à l’hectare et des classes de diamètre des populations correspondantes. Il ressort que les groupements les plus denses sont ceux à Combretum nigricans Lepr. ex Guill. & Perr., Anogeissus leiocarpus (DC.) Guill. & Perr., Acacia hockii De Wild. et A. dudgeoni Craib. ex Holland, tandis que les moins denses sont ceux à Gardenia ternifolia Schumach. & Thonn., Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn. et Piliostigma thonningii (Schumach.) Milne-Redh. La répartition des individus en classes de diamètre a révélé que tous les groupements sont stables, c’est-à-dire capables de se renouveler par la régénération naturelle. Mais la structure des espèces dominantes présente beaucoup d’irrégularités liées à leurs exigences écologiques, aux feux de brousse et aux attaques d’éléphants. Toutefois, la plasticité écologique et la biologie de certaines espèces leur confèrent assez de structures de populations stables. Mots clés: Aires protégées, Burkina Faso, Groupements ligneux, Structure de population
Impact of protected areas and land use on regeneration of Acacia woodland’s in Eastern Burkina Faso
(2008)
Regeneration success, persistence strategies (seedlings vs. coppicing), and population trend of Acacia spp. were tested under two land-use regimes in eastern Burkina Faso: (i) protected areas shielded to livestock grazing pressure, to logging, and using early annual fire as a management system; (ii) areas with high human impact (heavily and extensive livestock grazing, harvesting for wood and for medicinal plants). Generally, a good regeneration rate of Acacia species was observed in protected areas and a poor regeneration rate in areas with high human impact. Nevertheless, some species affiliated to the subgenus Aculeiferum as A. dudgeoni and A. polyacantha showed a good regeneration under both land use regimes. Juvenile plants less than 25 cm height of A. dudgeoni and A. gourmaensis increased by 116 to 50 % in areas with human impact as compared to their populations in protected areas. With SCD slopes varying from –0.40 to -0.70, the protected Acacia woodland displayed a stable population structure due to abundance of recruitment, and coppicing persistence (more common in the subgenus Aculeiferum) favoured by early annual fire. Consequently, the protected areas are favourable for Acacia woodland regeneration. Conversely, SCD slopes are positive or close to zero in areas of anthropogenic regime and showed a declining population, especially more marked with the subgenus Acacia due to permanent seed and seedling removal by livestock grazing. Nevertheless, the number of seedlings of some species was higher in areas under human pressure than in protected areas, especially for the subgenus Aculeiferum, improving the genetic variability and thus the long-term maintenance of the population. Key words: Acacia, early fire, land use, sudano-sahelien zone
La présente étude menée sur la végétation ligneuse du parc national d’Arly a pour objectif de caractériser la diversité et la structure des différents groupements végétaux en relation avec les conditions écologiques. 243 relevés phytosociologiques ont été réalisés. Ces relevés font ressortir 109 espèces ligneuses et 10 groupements par la méthode d’analyse DCA. La diversité des groupements végétaux a été caractérisée par le calcul des indices de diversité. Pour chaque groupement ligneux, 10 relevés ont été choisis de manière aléatoire pour des mesures dendrométriques. Les individus dont le diamètre à 1,3 m du sol est supérieur à 5 cm ont été mesurés. La structure des groupements a été décrite à travers la répartition des individus en classe de diamètre, le calcul de la densité et de la surface terrière. La relation entre la diversité et la structure des groupements a été établie sur la base d’analyse de corrélation. Les groupements ligneux distingués sont répartis suivant le gradient topographique. L’analyse de la structure démographique en classe de diamètre montre que les peuplements des différents groupements végétaux sont stables, ce qui traduit leur adaptation aux facteurs écologiques stationnelles telles que le feu et les conditions de sol. Les forêts claires à Tamarindus indica et Combretum paniculatum et les forêts galeries à Vitex chrysocarpa et Garcinia livingstonei sont les formations les plus denses et les groupements ligneux les plus diversifiés. A l’opposé, les savanes arbustives clairsemées à Euphorbia sudanica et Combretum niorense et celles à Acacia sieberiana sont moins denses et constituent les groupements les plus pauvres en espèces. Ainsi, il existe une relation entre la diversité et la structure des groupements des formations ligneuses. Les conditions édaphiques et topographiques occupées par ces groupements expliquent à la fois leur diversité et leur structure. Mots clés: groupements ligneux, relevés, stabilité, sol
Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica (formerly "Etudes sur la flore et la végétation du Burkina Faso et des pays avoisinantes") is a refereed, international journal aimed at presenting high quality papers dealing with all fields of geobotany and ethnobotany of the Sudano-Sambesian zone and adjacent regions. The journal welcomes fundamental and applied research articles as well as review papers and short communications. English is the preferred language but papers written in French will also be accepted. The papers should be written in a style that is understandable for specialists of other disciplines as well as interested politicians and higher level practitioners. Acceptance for publication is subject to a referee-process. In contrast to its predecessor (the "Etudes …") that was a series occurring occasionally, Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica is a journal, being published regularly with one volume per year. Edited by Rüdiger Wittig (Frankfurt), Sita Guinko (Ouagadougou), Brice Sinsin (Cotonou), Adjima Thiombiano (Ouagadougou).
Sobre Bryozoa do Brasil
(1941)
Die Rose und der Winter
(1893)
Arabidopsis cell walls contain large amounts of pectins and hemicelluloses, which are predominantly synthesized via the common precursor UDP-glucuronic acid. The major enzyme for the formation of this nucleotide-sugar is UDP-glucose dehydrogenase, catalysing the irreversible oxidation of UDP-glucose into UDP-glucuronic acid. Four functional gene family members and one pseudogene are present in the Arabidopsis genome, and they show distinct tissue-specific expression patterns during plant development. The analyses of reporter gene lines indicate gene expression of UDP-glucose dehydrogenases in growing tissues. The biochemical characterization of the different isoforms shows equal affinities for the cofactor NAD+ (~40 µM) but variable affinities for the substrate UDP-glucose (120–335 µM) and different catalytic constants, suggesting a regulatory role for the different isoforms in carbon partitioning between cell wall formation and sucrose synthesis as the second major UDP-glucose-consuming pathway. UDP-glucose dehydrogenase is feedback inhibited by UDP-xylose. The relatively (compared with a soybean UDP-glucose dehydrogenase) low affinity of the enzymes for the substrate UDP-glucose is paralleled by the weak inhibition of the enzymes by UDP-xylose. The four Arabidopsis UDP-glucose dehydrogenase isoforms oxidize only UDP-glucose as a substrate. Nucleotide-sugars, which are converted by similar enzymes in bacteria, are not accepted as substrates for the Arabidopsis enzymes.
1. Die Feldbeobachtungen der vorliegenden Untersuchung sind in der Zeit vom 10. VII. bis 9. VIII. 1964 in Westspitzbergen in den Gebieten von Isfjorden und Hornsund (Abb. 2) gemacht worden. Die Fjeldheidevegetation wurde auf 58 Probeflächen von je 25 m2 untersucht. 2. Bei der Besprechung der Fjeldheidevegetation wird zunächst der Begriff »Fjeldheide» definiert und mit dem Begriff »Tundra» verglichen. Zugleich wird die Zonität der (oro)arktischen Vegetation erörtert und mit den in Grönland, Fennoskandien und Nowaja Semlja vorgenommen Zoneneinteilungen verglichen. Im Rahmen der Dreizoneneinteilung der (oro)arktischen Vegetationszone werden in Spitzbergen die mittel- und die oberoroarktische Stufe angetroffen. 3. In der untersuchten Fjeldheidevegetation wurden 5 Artengruppen und entsprechend 5 Heidetypen herausgearbeitet: 1. Deflations-, 2. Flechten-, 3. trockene und 4. frische Moosheide sowie 5.Schneebodenstellen. Die Grenze zwischen den Typen und auch zwischen den innerhalb eines jeden Typs anzutreffenden Westküsten- und Binnengebietvarianten sind fliessend. Das Westküstengebiet umfasst die Untersuchungsstellen 1-6, das Binnengebiet (=Innenfjord- und Binnenlandgebiet) die Punkte 7-20. 4. Das Westküstengebiet gehört vorwiegend ins Bereich der metamorphierten, das Binnengebiet wiederum ins Gebiet der nicht metamorphierten Gesteine. Für die Entstehung der die obigen Gebiete charakterisierenden Varianten wird jedoch nach meiner Meinung dem Grossklima die ausschlaggebende Bedeutung beigemessen. Die Westküste ist hygrisch und thermisch ozeanischer als das Binnengebiet (Abb. 6). Dieser Umstand macht sich in der Vegetation auch in den Mangenverhältnissen der Typen geltend: an der Westküste viele Deflationsheiden und SchneebodensteIlen (siehe S. 43). Ferner ist die Höhengrenze der mittelarktischen Stufe an der Westküste tiefer (siehe S. 43). Die Phänologie der Pflanzen lässt an der Westküste Verspätung der Entwicklung erkennen (siehe Tab. 9 und 10). An der Westküste steht die Fjeldheidevegetation auf gröberem Untergrund (siehe Tab. 8), und das Eis reicht weiter herunter als im Binnengebiet. 5. Beim Vergleich der Fjeldheidetypen miteinander wurden Unterschiede in der Dicke des Auftaubodens und in der Phänologie der Pflanzen beobachtet, welche Umstände mit der Dicke der Schneedecke zusammenhängen dürften. Die Dicke des Auftaubodens wird zu den frischen Moosheiden hin geringer und nimmt dann an den SchneebodensteIlen wieder zu (Tab. 8). Die Entwicklung der Pflanzen setzt umso zeitiger ein, je trockener der Typ ist (Tab. 9 und 10). 6. Mit Hilfe der Literatur wird der Versuch gemacht, Vegetationen ausfindig zu machen, die sich mit den Fjeldheidetypen Spitzbergens identifizieren (= Horistisch gleichartig sind; vgL Abb. 11) oder vergleichen lassen (= floristisch andersartig, aber an mehr oder minder gleichartigen Standorten). Zusammenfassend wird hauptsächlich anhand der Literatur ein vorläufiger Vorschlag für die Vegetations gebiete Spitzbergens gemacht (Abb. 10).
Vor einigen Jahren habe ich bereits über die Verbreitung und Ökologie der Seidenbiene Colletes collaris Dours berichtet (Westrich 1997). Diese Art ist in Deutschland extrem selten. Ihr aktueller Verbreitungsschwerpunkt liegt im Kaiserstuhl (Westrich et al. 2000). Die Untersuchungen von Pollenladungen von Weibchen aus dem gesamten Areal hatten gezeigt, daß die Art oligolektisch und auf Asteraceae spezialisiert ist. Als Pollenquellen bisher bekannt geworden sind Aster linosyris, Hieracium umbellatum, Picris hieracioides, Senecio erucifolius, Solidago virgaurea und Carduus acanthoides. Im Jahr 2006 machte ich im Kaiserstuhl ergänzende Beobachtungen zum Blütenbesuch, über die ich hier berichte.