580 Pflanzen (Botanik)
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Beitraege zur Kenntniss der myrmecophilen Pflanzen und der Bedeutung der extranuptialen Nectarien
(1891)
Von den biologischen Fragen des heutigen Tages, die der Beantwortung harren, giebt es wohl wenige, die so ungemein die allgemeine Aufmerksamkeit gefesselt haben wie die Frage über die wechselseitigen Beziehungen von Pflanzen und Ameisen, wie sie sich im Laufe der Zeit entwickelten und worüber Delpino, Belt, Beccari u. A. höchst interessante Thatsachen zu Tage gefördert haben. ...
In the plant kingdom, particularly in the phanerogamic flora, hermaphroditism is by far the most common, yet the number of other sex forms is not negligible. This study was undertaken with the view of ascertaining the relative proportions in which such sex forms occur. For this purpose Engler and Prantls "Natürliche Pflanzenfamilien" with all the Nachträge (which are complete up to 1912) have been used. The lists that follow are the results of this examination.
Compared to all other organisms with 1 to 3 heat stress transcription factors (Hsfs) or Hsf-related factors, plants have extraordinarily large Hsf families with more than 20 Hsfs. Plant Hsfs are classified into three classes according to their oligomerization domains which is built of hydrophobic heptad repeats (HR) in two parts, HR-A and HR-B. Both parts may be immediately adjacent (class B), or they are separated by insertion of 21 (class A) and 7 amino acid residues (class C). In plant Hsf family, detailed investigations are so far limited to Hsfs A1a, A2, A3, A4d, A9, and B1. They strongly indicate functional diversification to be the main reason for the coexistence of multiple Hsfs. As an example the functional triad of HsfA1a, HsfA2, and HsfB1 is essential for all three phases of the hs response, (i) the triggering of the response by HsfA1a as master regulator, (ii) the maintenance and high efficiency of hs gene transcription by cooperation of HsfA1a with Hsfs A2 and B1, and finally, (iii) the restoration of house-keeping gene transcription during the recovery phase mediated by HsfB1 in cooperation with house-keeping transcription factors. The results presented in this thesis for Hsfs A4 and A5 open completely different aspects of functional diversification and cooperation of Hsfs. HsfA4 and HsfA5 homooligomerize and bind to corresponding HSE motifs. But in contrast to the highly active HsfA4, HsfA5 is completely inactive as transcriptional activator. Yeast two hybrid and GST pull-down techniques showed that both Hsfs have strong tendency for heterooligomerization. Using fluorescence microscopy the HsfA4/A5 heterooligomers were found to localize in the nucleus. These complexes are transcriptionally inactive due to the impairment of DNA binding. The repressor function of HsfA5 requires only its OD and no additional factors, e.g. a putative co-repressor recruited by the C-terminal domain, are involved. Evidently, the repressor effect mainly results from the interference with the oligomeric state of HsfA4b, which is essential for efficient DNA binding and activator functions. EST database search revealed that plants have a single HsfA5 and usually two A4-type Hsfs. Using bioinformatics tools, Hsfs A4 and A5 were found to be phylogenetically closely related and clearly distinct from the other members of the Hsf family. On the basis of RT-PCR and Microarray data the representatives of the A4/A5 group are well expressed in different plant tissues albeit at very different levels which change with the developmental stages and stress conditions In rice and Arabidopsis, HsfA4 functions as an anti-apoptotic factor for stress induced oxidative damages. Based on my results, I hypothesize that HsfA5 functions as a novel type of selective repressor, regulating the function of A4-type Hsfs in plants. Considering the high sequence conservation with in plant Hsf family, it is tempting to speculate that this role of Hsf4/A5 pair is a fundamental feature of the Hsf system in plants.
Prodromus florae Timorensis
(1841)
Während über Flora und Vegetation der Wälder, Savannen und Äcker Westafrikas zahlreiche Veröffentlichungen vorliegen, hat man sich mit der ruderalen Flora und Vegetation der Siedlungen bisher nur wenig beschäftigt. Im Rahmen der Forschungen des SFB 268 wurde daher in zwei Ortschaften von Burkina Faso eine Bestandsaufnahme der spontan im Siedlungsbereich und in seiner engeren Umgebung an Ruderalstandorten auftretenden Pflanzenarten durchgeführt, wobei, gemäß den Zielen des SFB 268, auf eine interdisziplinäre Relevanz der Ergebnisse Wert gelegt wurde. Daher standen die Fragen nach der Nutzung der Spontanflora durch die Bevölkerung im Vordergrund des Interesses. In der vorliegenden Arbeit wird über die für die menschliche Ernährung genutzten krautigen Wildpflanzen des Siedlungsbereiches berichtet.
Les ferrières sont par définition les amas des déchets de la réduction du fer. De par son origine elles constituent des lithosols qui ont beaucoup évolué dans l’espace et dans le temps. A notre connaissance très peu d’études se sont penchées sur cette végétation qui couvre actuellement les sites de réduction du fer. L’inventaire floristique de plusieurs sites en zone soudanienne montre la fréquence de certaines espèces sur les ferrières. L’étude de la chorologie de toutes les espèces confondues ligneuses et herbacées, montrent que la plupart sont constituées par des espèces zoochores et quelques espèces anémochores. Elles sont disséminées principalement par les animaux d’élevage, par les oiseaux. Cette communication synthétise les données des différentes prospections et les premiers résultats de nos observations et analyses. Elle a deux objectifs : de montrer l’importance des activités anthropiques dans la formation du paysage végétal d’une part, et d’autre part de mettre en évidence le processus de colonisation des sols nus et des ferrières en zone soudanienne.
La variation dans l'utilisation des ressources végétales est liée aux changements de mode de vie. Le Burkina Faso fait parti des pays habituellement indiqués comme en voie de développement. Ce qualificatif est vrai si on ne regarde que la croissance technologique. Le pays accuse certes un retard sur ce plan, mais la population sait bel et bien développer son intelligence humaine pour faire face à telle ou telle situation. Ainsi, devant une mauvaise récolte, personne n'acceptera de mourir de faim tant que dans l'environnement naturel existeront tous les éléments nécessaires pour survivre: l'eau, les plantes et les animaux. A ce moment-là, le mode de vie change; il ne s'agit plus de récolter, mais il s'agit de prélever, de cueillir. La cueillette, c'était un mode de vie dans l'époque préhistorique. L'homme se rabat sur tout ce qui peut fournir un aliment substantiel: les gros tubercules, les feuilles les plus tendres, les fruits et les graines. Si les trois dernières catégories d'aliments ne posent pas trop de problèmes, la première et les autres organes souterrains sont en général toxiques. Et là encore, l'homme va développer son intelligence pour éliminer cette toxicité mais après une grande perte en vie humaine. Dans le but de savoir un peu plus sur ces différentes périodes de disette et de famine, nous avons mené une enquête à Ouahigouya (Yatenga) et à Toma (Sourou), deux zones qui appartenaient à un même cercle pendant l'époque coloniale, période de la suppression de la Haute-Volta. Par ailleurs nous voulons vérifier la marge d'erreur qu'on peut avoir lors d'une enquête ethnobotanique en se situant dans le temps et l'espace. Cette communication entre en plus dans le cadre de nos travaux de recherche sur l'histoire de la végétation et de l'utilisation des ressources végétales.
L'homme vivant de la cueillette existe toujours au Burkina Faso. Les espèces que nous allons exposer par la suite ne font pas l'objet d'une culture. La plupart certes sont des espèces protégées lors des défrichements. Elles caractérisent souvent les différents faciès de savane rencontrés à travers le pays. Certaines ont des usages généralisés en temps normal, d'autres le sont en temps de disette ou de soudure. Ces espèces ligneuses sont à usages culinaires par leurs feuilles, leurs graines et leurs exsudats. Leur composition chimique montre un certain équilibre énergétique à la consommation et permet de comprendre la santé de nos paysans malgré ce qu'on laisse entendre sur la pauvreté et la sous-alimentation. Dans le cadre de nos travaux pour une meilleure connaissance des espèces tant sur le plan taxonomique, biologique qu'ethnobotanique, nous avons mené depuis cinq ans une enquête sur les différentes utilisations des espèces ligneuses. Le présent travail concerne particulièrement les espèces ligneuses dont certains organes sont utilisés dans alimentation humaine. Nous nous sommes limités à ne parler que d'une vingtaine d'espèces.
Le Burkina Faso est situé dans la zone soudano-sahélienne où les cultures sont quelquefois aléatoires; dans ces conditions les plantes ligneuses occupent une place importante dans la vie socio-économique du pays. Pourtant, une sécheresses climatique persistante de ces dernières décennies a entraîné une mortalité massive de ces ligneux surtout dans la zone sahélienne. Cette forte dégradation des ressources naturelles est variable d’une zone géo-graphique à une autre pour des raisons diverses. Si les phénomènes généraux de cette dégradation de la végétation et leurs causes sont souvent décrits par de nombreux auteurs, il existe par contre très peu de connaissances détaillées et spécifiques en fonction des zones géographiques sur la menace qui pèse sur les différentes espèces. Dans l’absence de bases scientifiques fiables sur la végétation du passé pour chacune des régions qui permettrait ainsi d’établir avec précision la liste des espèces disparues, il est donc nécessaire de se baser sur la perception de la population rurale qui se trouve bien placée pour déceler tout changement dans la flore. Dans ce contexte, cette étude menée auprès des gourmantchés, vise surtout à identifier les espèces disparues ou celles en voie de disparition dans les différentes zones écologiques à l’est du Burkina Faso; en outre, elle aborde les raisons évoquées par ces populations pour expliquer cette menace qui pèse sur chacune des espèces. L’enquête a enfin contribué à connaître les solutions envisagées par ces dernières pour anéantir ou réduire la menace.
L’inventaire floristique du Burkina Faso est loin d’être clos. Les récentes investigations floristiques ont permis de recenser un grand nombre d’espèces qui n’avaient jamais été mentionnées sur la liste floristique nationale. Une partie de ces espèces sont d’ailleurs guinéocongolaises. Cet inventaire a concerné les aires classées et protégées situées dans le secteur Sudsoudanien. Les richesses floristiques se retrouvent concentrées dans ces aires classées et protégées car ce sont des formations qui jouissent d’une relative bonne gestion par rapport aux autres aires non protégées qui ont été fortement dégradées par l’homme. L’objectif de cette communication est de donner les informations issues de ces différentes investigations sur l’état de connaissance de la diversité végétale du Burkina Faso avec un accent particulier sur le mode de gestion et les utilisations de quelques espèces de la zone sud soudanienne.
Kagbeni and its irrigated oasis are surrounded by subdesert dwarf scrubland. In the present study, a list of 78 species of vascular plants is presented for Kagbeni and its immediate surroundings, supplemented with data on the distribution of the species within the entire Mustan District. The data are arrived from own investigations and the geobotanical literature. A phytogeographical analysis shows the prevalence of western over eastern elements. Species with a wide distribution in Eurasia, which constitute one third of the total flora of Kagbeni, are of great importance as weeds on arable fields and in ruderal places within the irrigated oasis. Their occurrence is closely related to human activity. Presumably, most of these weeds have reached the area under study in connection with agriculture a long time ago. Weeds from the New World, although recorded in other villages of Mustan District, have not been found in Kagbeni. The weed vegetation of Kagbeni is documented by nine vegetation releves, and is compared to releves from Jomsom and Mzrpha. A floristic gradient from south to north that has been detected by earlier investigations throughout the whole district can be reproduced at the local scale. With regard to the weed flora, the effects of different crops are minimal, compared to effects of altitude and other factors related to altitude.
Changes in settlement pattern and culture - the process of down-hill migration in Tula, Bauchi State
(1996)
The process of down-hill migration of the Tula people started during the 1920s and has not yet finished. The resulting present situation might give information how far terraces play any role in the economy, ecology and ideology of the Tula. Approaching this question from a socio-agricultural point of view some facts which indicate the pertaining or overcoming of traditional structures will be presented. In the following the land tenure system, the adoption of innovations and the role of women in agriculture will be discussed comparatively for Tula Wange and Tula Baule on the plateau, Fantami, which is generated by down-hill dwellers of Tula Wange, with its more or less bad farming conditions on shallow sandy soils and Kaltin, where the down migrants of Tula Baule settle in a more fertile area. Tula Wange numbers around 2000 households, Baule 1000, Fantami about 200 and Kaltin 350 of which the sample survey includes 15% in the plateau sites and 25% in the plain settlements.
Notre communication porte sur le thème suivant: "Anthropisation du couvert végétal dans la province de Namentenga et ses conséquences socioéconomiques: cas de la région de Tougouri, en zone subsahélienne" (centre-nord du Burkina Faso). A travers cette étude de cas, nous voulons attirer l'attention sur les problèmes environnementaux du Burkina Faso. En effet, les déficits pluviométriques cumulés, depuis quelques décennies, sont à l'origine de la dégradation des écosystèmes. La surexploitation des terres entraîne également l'épuisement des sols et la diminution des ressources végétales. Un telle situation n'est pas sans conséquence sur les activités socioéconomiques des populations. Le plan de notre communication sera donc comme suit: 1. Présentation du degré-carré de Tougouri, sur le plan physique 2. Dynamique du couvert végétal sous l'action anthropique, et les conséquences socioéconomiques 3. Perspectives d'avenir
La coupure que l'on constate dans les forêts denses africaines au niveau du Togo et du Bénin soulève de nombreuses questions sur les rapports forêt/savane au cours des derniers millénaires. Le projet Dahomey Gap vise à y répondre, par une approche pluridisciplinaire intégrant botanique et histoire de la végétation dans le Sud-Bénin et le Sud-Ouest du Nigéria. A partir de travaux déjà avancés sur la végétation du Bénin et des premières prospections palynologiques, quelques aspects du projet sont exposés ici: tels la caractérisation des différentes formations forestières du Bénin, les premiers résultats sur l'histoire holocène de la végétation du Sud-Bénin (mangroves, forêts, savanes) enregistrée depuis près de 7000 ans dans les lagunes.
Im Rahmen dieser Arbeit wurde die Vegetation der Savannenlandschaften der Sahelzone von Burkina Faso analysiert. Diese semiaride bis aride Region, die seit einigen Jahrzehnten von Landdegradation betroffen ist, ist als Untersuchungsgebiet u.a. deshalb besonders interessant, weil sie an einem Nutzungsübergang zwischen sesshafter Landwirtschaft und traditionell nomadischer Viehwirtschaft liegt. Im Vordergrund stand bei der Vegetationsanalyse ihre Klassifikation, die Frage nach der floristischen Struktur sowie dem aktuellen Zustand der Vegetation. Zu Beginn der Feldarbeiten wurde das Untersuchungsgebiet, das einen Niederschlagsgradienten von rund 200 mm umfasst, in geomorphologische Landschaftseinheiten (Inselberge, glacis, Niederungen, mares, Dünenzüge) stratifiziert. Innerhalb dieser Einheiten erfolgte die Vegetationsaufnahme mit Hilfe pflanzensoziologischer Aufnahmen. Die Arten der Gehölz- und Krautschicht wurden getrennt behandelt. Die Vegetationsaufnahmen wurden durch Strukturprofiltransekte in der brousse tigrée und Bodenuntersuchungen ergänzt. Auf verschiedenen Skalenebenen wurden die verschiedenen Vegetationsgesellschaften detailliert beschrieben und zu Standortfaktoren in Beziehung gesetzt. Außerdem wurden Vegetationsprofile zur Veranschaulichung der räumlichen Struktur der Vegetation abgeleitet. Bei der Analyse kamen auch computergestützte Methoden und statistische Verfahren (Tests der absichernden Statistik, Berechnung verschiedener Diversitätsindices, Ordinationsverfahren, numerische Klassifikation) zum Einsatz, um die Interpretation der Vegetationsstruktur zu unterstützen. Rund 320 Gefäßpflanzensippen aus 65 Familien konnten sicher bestimmt werden. Die artenreichste Familie sind die Poaceen. Insgesamt können 20 Gesellschaften der Gehölzschicht sowie 22 Gesellschaften der Krautschicht klassifiziert werden, die zur Mehrzahl weiter in Untereinheiten gegliedert sind. Innerhalb jeder Landschaftseinheit werden die Gesellschaften der Gehölzschicht, anschließend diejenigen der Krautschicht, vorgestellt. In der Regel sind sie in ihrer Verbreitung auf jeweils eine Landschaftseinheit beschränkt. Vor allem die Gesellschaften des glacis und der Niederungen besiedeln auch Habitate in Landschaftseinheiten außerhalb ihres Schwerpunktes. Daraus werden Schlüsse zum Ausbreitungsverhalten gezogen. In keinem Fall sind Einheiten der Krautschicht und der Gehölzschicht ausschließlich miteinander kombiniert; vielmehr sind Einheiten der Krautschicht jeweils mit mehreren Einheiten der Gehölzschicht kombiniert, was ihren selbständigen Charakter betont. Zehn Einheiten der Krautschicht sind überwiegend oder völlig gehölzfrei. Eine floristische Verwandtschaft besteht vor allem zwischen den Landschaftseinheiten glacis und Dünenzügen sowie zwischen mares, Niederungen und Dünenzügen; die Inselberge unterscheiden sich deutlich. Die Gehölzvegetation der Inselberge ist in Abhängigkeit von der menschlichen Nutzung in fünf Gesellschaften gegliedert. Während die Commiphora africana-Gesellschaft für wenig beeinflusste Bereiche typisch ist, hat die Combretum micranthum-Fragmentgesellschaft ihren Verbreitungsschwerpunkt in den intensiv genutzten Bereichen. Die Acacia raddiana-Zentralgesellschaft ist an den Unterhängen vertreten. Die Krautschicht der Inselberge gliedert sich in sechs, relativ artenreiche Gesellschaften mit Untereinheiten. Sie stellen zum Teil lokale Besonderheiten dar. Das räumliche Muster der Einheiten der Brachiaria lata-Gesellschaft lässt eine Abhängigkeit von der Art der Beweidung erkennen. Die Vegetation der Sandrampen wird oftmals von Einheiten gebildet, die ihren Verbreitungsschwerpunkt auf den Dünenzügen haben. Die Gehölzvegetation des glacis ist in drei relativ artenarme Gesellschaften gegliedert, die in Abhängigkeit der Lage zum lokalen Vorfluter zoniert und auch über das Untersuchungsgebiet hinaus weit verbreitet sind. Weite Bereiche des glacis sind völlig gehölzfrei. Die häufigste Gesellschaft ist die Acacia raddiana-Zentralgesellschaft. Die Ordination der Daten unterstützt die Klassifikation und zeigt Übergänge zwischen den Einheiten sowie Beziehungen zu den Standortparametern auf. Die Krautvegetation der glacis-Flächen ist relativ einheitlich; es gibt insgesamt nur zwei Gesellschaften. Der Anteil an Ruderalarten, Arten mit Pioniercharakter und solchen, die ihren Verbreitungsschwerpunkt auf Dünenzügen haben, ist relativ hoch. Bedeutendste Einheit ist die Tribulus terrestris-Untereinheit der Schoenefeldia gracilis-Gesellschaft, die eine weite ökologische Amplitude besitzt. Vor allem zu den Krautgesellschaften der Niederungen bestehen enge floristische und räumliche Beziehungen. Die krautigen Arten des glacis haben eine weite ökologische Amplitude. Es bestehen floristische Beziehungen zu Vegetationseinheiten der Sahara. Die Vegetation der mares und Niederungen hat die höchste β-Diversität. Die Gehölzvegetation der Niederungen ist in Abhängigkeit der Überflutungsdauer und -höhe zoniert und relativ struktur- und artenreich. In Galeriewäldern kommen sudanische Gehölzarten vor. Während von Viehherden stark frequentierte mares niedrige Gehölzdeckungen aufweisen oder komplett gehölzfrei sind, ist die Gehölzdeckung an den Ufern nur schwach besuchter mares geschlossen. Dies gilt auch für die artenreiche Krautvegetation. Insgesamt ist die Gehölzvegetation der Niederungen und mares in acht Gesellschaften gegliedert; die einzelnen Einheiten zeigen Übergänge miteinander. Die Krautvegetation der Niederungen enthält ebenfalls sudanische Arten. Sie lässt sich in drei Gesellschaften gliedern, die z.T. nur ein kleines Verbreitungsgebiet haben. Einige Uferabschnitte sind stark degradiert und vegetationslos. Die oftmals röhrichtartige Krautvegetation der mares ist ebenfalls in Abhängigkeit der Überflutungshöhe gegliedert, allerdings kommen an den einzelnen mares teilweise unterschiedliche Einheiten vor. Die Melochia corchorifolia-Gesellschaft steht im Mittelpunkt der Krautvegetation der mares, während die Brachiaria mutica-Gesellschaft für die nicht oder nur wenig überfluteten Bereiche typisch ist. Die Gehölzvegetation der Dünenzüge lässt sich im Untersuchungsgebiet in neun Gesellschaften gliedern. Diese gruppieren sich in einem artenreichen Block wenig beeinflusster Bereiche und in einem relativ artenarmen Block intensiv genutzter Dünenabschnitte. Bestände, die zur Pterocarpus lucens-Gesellschaft gestellt werden, bilden auf abgelegenen Dünenzügen kleine Wäldchen. In diese Gesellschaft werden auch die Bestände der brousse tigrée eingegliedert. Es sind in der Region nur noch wenige Flächen mit intakter brousse tigrée vorhanden. Anhand von zwei Strukturprofiltransekten wird ihre floristische und räumliche Struktur mit vier Zonen veranschaulicht. Pterocarpus lucens und Combretum micranthum sind die beiden dominanten Gehölzarten. Im Untersuchungsgebiet ist die Combretum glutinosum-Zentralgesellschaft weit verbreitet. Durch zwei Ordinationsdiagramme wird der ökologische Schwerpunkt wichtiger Dünenarten aufgezeigt. Die numerische Klassifikation lässt sich gut mit der manuellen Klassifikation in Übereinstimmung bringen. Die Krautvegetation der Dünen ist in sieben Gesellschaften mit vielen, z.T. relativ artenarmen Untereinheiten gegliedert, deren ökologische Bindung aufgrund eines starken, nivellierenden Beweidungseinflusses nicht immer geklärt werden kann. Es dominieren annuelle Arten; viele der Arten kommen in anderer Artenkombination auch in der Sudanzone vor. Daneben zeigt sich eine floristische Verwandtschaft zur Sahara. Unter Bäumen wächst die Achyranthes aspera-Gesellschaft. Krauteinheiten, die in anderen Landschaftseinheiten ihren Verbreitungsschwerpunkt haben, sind auf den Dünenzügen ebenfalls vorhanden, z.B. die Enteropogon prieurii-Gesellschaft der Inselberge und die Schoenefeldia gracilis-Gesellschaft des glacis. Es ist keine floristische Differenzierung entlang des Niederschlagsgradienten erkennbar. Hirsefelder sind mit Kulturbaumparks bestanden. Die Acacia raddiana-Zentralgesellschaft gewinnt auch auf den Dünenzügen an Bedeutung. Die Ergebnisse werden in Beziehung zu den in der Literatur vorhandenen, oftmals auf formationskundlichen Kriterien beruhenden Klassifikationen in Beziehung gesetzt. Je nach verwendetem Verfahren und Distanzmaß liefert die numerische Klassifikation unterschiedliche Ergebnisse, die sich nur zum Teil mit der Klassifikation in Deckung bringen lassen. Durch die Betrachtung der aktuellen Verjüngung, aus den Ergebnissen und ihrer Diskussion werden Aussagen über die aktuelle Vegetationsdynamik abgeleitet. Aktuelle Strukturveränderungen der Vegetation sind mit einem Landnutzungswandel verbunden. In erster Linie handelt es sich um Degradation, für die Beispiele auch aus der Literatur gegeben werden. Auf den Inselbergen gehen artenreiche Bestände zurück, gleichzeitig wandern Arten von den glacis-Flächen her ein. Auf dem glacis sind einerseits eine Artenverarmung, andererseits eine Verbuschung tiefliegender Bereiche sowie eine floristische Homogenisierung vieler Flächen zu beobachten, letzteres gilt auch für die Dünenzüge. An den mares und Niederungen findet ebenfalls eine floristische Verarmung statt, sudanische Arten sterben wie auch auf den Dünenzügen aus. Klimaungunst und vor allem Überbeweidung als mögliche Ursachen für den Vegetationswandel werden diskutiert.