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La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
Dans le cadre du Séminaire portant « sur la littérature et la société au Gabon », dirigé par monsieur SIMA EYI Hervais-Eméry, enseignant, Directeur-fondateur du Centre d’Etude en Littérature Gabonaise (CELIG), il a été demandé aux étudiants de faire des recherches et voir quelle place les institutions littéraires du Gabon accordait à la littérature gabonaise. Pour notre groupe, il s’est agit de se rendre dans les institutions telles que le Bureau Régional de l’Agence de la francophonie de l’Afrique Centrale (BRAC), Ministère de la culture, des arts et de l’éducation populaire, La Fondation Raponda WALKER, Le Centre Culturel Français ST- Exupéry de Libreville (CCF), La faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Omar Bongo et L’Institut Pédagogique National (IPN). Notre objectif consistait à voir quel traitement ces institutions faisaient de la littérature gabonaise et comment elles s’y prenaient pour faciliter sa vulgarisation et sa promotion. Aussi , s’agissait-il d’étudier la nature des rapports ou des relations qui existent entre ces institutions et les écrivains gabonais, quelle place accordaient-elles à la littérature gabonaise et à ses écrivains, et comment procédaient -elles pour promouvoir cette littérature. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
1932 erscheint Clemens Lugowskis Arbeit über die Romane Jörg Wickrams, in der er die Spezifika des vormodernen Romans herausarbeitet: er ist nach Lugowski durch eine sogenannte "Motivation von hinten" charakterisiert, die über die sich in Kausalketten vollziehende "Motivation von vorne" dominiert. Was sich im Vordergrund der Handlung innerhalb der Zeit ereignet und auf ein vorherbestimmtes Resultat zuläuft, wird weniger aus den Ereignisketten selbst als aus der im Hintergrund wirkenden göttlichen Vorsehung entwickelt [...] Es liegt nahe zu fragen, inwiefern sich der Ansatz von Martinez von der Theorie phantastischer Literatur unterscheidet, die ja (etwa nach Tzvetan Todorov) mit dem Moment der Unschlüssigkeit des Lesers, ob er die Ereignisfolge der innerliterarischen Realität oder aber den Vorstellungen eines Protagonisten zurechnen soll, eine ganz ähnlich strukturierte "doppelte Welt" wie auch Martinez behauptet. Den knappen Erläuterungen zufolge ist der Begriff der "doppelten Welten" insofern enger als der der phantastischen Literatur, als er "mit der paradoxen Koexistenz von kausaler und finaler Motivation nur einen speziellen Fall übernatürlichen Geschehens darstellt"; er ist aber andererseits auch weiter, insofern "die finale Motivation der doppelten Welt nicht notwendig als übernatürlich markiert sein muß".
Die Mitglieder des Instituts haben im Berichtszeitraum durch ihre Arbeit auf vielfältige Art und Weise daran mitgewirkt, wie in den Vorjahren, einerseits Angebote in die Region zu entwickeln und andererseits die Anstrengungen in Richtung Internationalisierung von Forschung und Lehre zu verstärken. Dabei konnten bestehende Kooperationen genutzt und neue Kooperationspartner gewonnen werden. Darüber hinaus ist das Institut bemüht, einen medienästhetischen Forschungsschwerpunkt im Fachbereich 10 zu etablieren. [...] Die Mitglieder des Instituts haben durch eine rege Publikationstätigkeit (siehe nachfolgende Auflistung), vielfältige Vorträge, öffentliche Stellungnahmen, Interviews und Gespräche in Zeitungen, Rundfunk und Fernsehen dazu beigetragen, dass die Universität Bremen in und außerhalb der Region als Standort einer produktiven kulturwissenschaftlichen DDR- und Deutschlandforschung wahrgenommen wird.
Die Mitglieder des Instituts haben im Berichtszeitraum durch ihre Arbeit auf vielfältige Art und Weise daran mitgewirkt, wie in den Vorjahren einerseits Angebote in die Region zu entwickeln und andererseits die Anstrengungen in Richtung Internationalisierung von Forschung und Lehre zu verstärken. Dabei konnten bestehende Kooperationen genutzt und neue Kooperationspartner gewonnen werden. [...] Darüber hinaus haben Mitglieder des Instituts durch eine rege Publikationstätigkeit (siehe nachfolgende Einzelberichte), vielfältige Vorträge, öffentliche Stellungnahmen, Interviews und Gespräche in Zeitungen, Rundfunk und Fernsehen dazu beigetragen, dass die Universität Bremen in und außerhalb der Region als Standort einer produktiven kulturwissenschaftlichen DDR- und Deutschlandforschung wahrgenommen wird.
Die Mitglieder des Instituts haben im Berichtszeitraum durch ihre Arbeit auf vielfältige Art und Weise daran mitgewirkt, wie in den Vorjahren einerseits Angebote in die Region zu entwickeln und andererseits die Anstrengungen in Richtung Internationalisierung von Forschung und Lehre zu verstärken. Dabei konnte bestehende Kooperationen genutzt und neue Kooperationspartner gewonnen werden. [...] Darüber hinaus haben Mitglieder des Instituts durch eine rege Publikationstätigkeit (siehe nachfolgende Einzelberichte), vielfältige Vorträge, öffentliche Stellungnahmen, Interviews und Gespräche in Zeitungen, Rundfunk und Fernsehen sowie im Rahmen von Gutachtertätigkeit für politische Institutionen im Berichtszeitraum dazu beigetragen, dass die Universität Bremen in und außerhalb der Region als Standort einer produktiven DDR- und Deutschlandforschung wahrgenommen wird.
Im fünften Jahr in Folge luden das Institut für Deutsche und Niederländische Philologie der Freien Universität Berlin, das Max-Planck-Institut für Wissenschaftsgeschichte und das Exzellenzcluster 16 der Universität Konstanz am 10. Juli 2010 ein zu einem für alle Interessierten offenen Forum für NachwuchswissenschaftlerInnen, die sich im Feld von Literature and Science betätigen und vorläufige Ergebnisse noch nicht abgeschlossener Arbeiten zur Diskussion stellen möchten.
Aus theoretischen und praktischen Gründen gibt es einerseits kaum eine Möglichkeit, die Rezeption von einzelnen belletristischen Büchern und von einzelnen Spielfilmen sogleich schon als Therapie im Sinne der Psychotherapie zu verstehen, andererseits aber scheint es völlig unerlässlich, Mediennutzungen grundsätzlich in einen sehr starken Zusammenhang mit Emotionen und Emotionsproblemen zu bringen - mit einer unausgesetzt notwendigen Bearbeitung von Gefühlen und Gedanken, und diese fortlaufend erforderliche Bearbeitung von Gefühlen und Gedanken kann man dann in den Gesamtkontext einer unerlässlichen Dauer-Therapie stellen.
Zu meinen Schwerpunkten als Professor für Neuere deutsche Literatur gehört neben der Medien- und Kulturwissenschaft insbesondere mit ihren Theoriebildungen auch die Gegenwartsliteratur. Das hört sich gut an, und es mag wohl sein, dass dieser Schwerpunkt dazu geführt hat, dass ich heute hier in dieser Runde sein darf. Tatsächlich aber verbirgt sich hinter einem solchen Schwerpunkt Gegenwartsliteratur eine immense wissenschaftliche Provokation, die viel mit dem Profil meines Faches, der Literaturwissenschaft und ihrer literaturtheoretischen Grundlegung, zu tun hat, vor allem aber mit der Literaturgeschichte. Gleichzeitig ist diese Provokation auch eng mit meiner eigenen intellektuellen und akademischen Biographie verknüpft. Beide Stränge, der wissenschaftliche und theoretische sowie der biographische, treffen sich in meiner persönlichen Auseinandersetzung mit Gegenwartsliteratur, und davon will ich Ihnen heute kurz erzählen.
In unserem Lesealltag stoßen wir auf Schritt und Tritt auf Übersetzungen. Ca. 15 % aller auf dem deutschen Buchmarkt produzierten Titel sind Übersetzungen, wobei - wenig überraschend - zwei Drittel aus dem Englischen stammen. Wir haben uns derartig daran gewöhnt, Übersetzungen zu benützen, dass wir sie kaum noch als besondere, höchst problematische Textsorte wahrnehmen. Auch Literaturwissenschaftler sind nicht dagegen gefeit, beim Lesen zu "vergessen", dass sie eine Übersetzung vor sich haben. Nicht oft genug kann man daher darauf hinweisen, dass Übersetzungen oft erheblich von ihren Vorlagen abweichen und dass bei der Entstehung von Übersetzungen nicht nur Kalkül, sondern auch der Zufall eine große Rolle spielt.
Der etwas pompöse Begriff "Wiener Moderne" könnte ohne weiteres durch den etwas bescheideneren Begriff "Junges Wien" ersetzt werden. Um diese relativ homogene, Anfang der neunziger Jahre formierte Gruppe, ihre Werke und im Besonderen um ihr Verhältnis zu französischen Vorbildern wird es hier in erster Linie gehen. Dabei wird die Aufmerksamkeit anfänglich auf Hermann Bahr als zentraler Vermittlerfigur französischer Literatur gerichtet sein, dann werden einige Werke von Hofmannsthal, Schnitzler, Dörmann, Andrian, Altenberg und Beer-Hofmann in Beziehung zur französischen Literatur gesetzt.
»Wenn es einen Wirklichkeitssinn gibt, dann muß es« – so folgerte Robert Musil zu Beginn des 20. Jahrhunderts – »auch einen Möglichkeitssinn geben.« Darunter versteht er die Fähigkeit, »alles, was ebenso gut [auch] sein könnte, zu denken und das, was ist, nicht wichtiger zu nehmen, als das, was nicht ist.« Mit dem Begriff des Möglichkeitssinns, der auf die Relativität und Alternativität des individuellen Denkens sowie auf die Utopie eines anderen, hypothetischen Lebens verweist, hat Robert Musil in seinem Jahrhundertroman Der Mann ohne Eigenschaften dem Kontingenzbewusstsein des modernen Menschen Ausdruck gegeben, welches am Ende des 20. Jahrhunderts zum Grundmodus der Existenz und der Verfasstheit des Individuums überhaupt werden sollte. Dem Begriff der Kontingenz liegt bei aller Unschärfe ein grundlegendes, auf Aristoteles zurückgehendes Verständnis zugrunde, welches Niklas Luhmann folgendermaßen definiert: Kontingent ist etwas, was weder notwendig ist, noch unmöglich ist; was also so, wie es ist (war, sein wird), sein kann, aber auch anders möglich ist. Der Begriff bezeichnet mithin Gegebenes (zu Erfahrendes, Erwartetes, Gedachtes, Phantasiertes) im Hinblick auf mögliches Anderssein; er bezeichnet Gegenstände im Horizont möglicher Abwandlungen.
Ausgangspunkt und Fokus des vorliegenden Textes sind die Verschränkung zweier Forschungsfelder und Reflexionsräume: Gender(-Forschung) und Dekonstruktion. Jedes einzelne dieser Felder ist selbst schon transdisziplinär angelegt und befindet sich am Schnittpunkt von Literaturwissenschaft (Ästhetik, Rhetorik), Philosophie (Sprachphilosophie, Sprechakttheorie, Erkenntnistheorie), Soziologie und Psychologie (Psychoanalyse). Mit dem Text möchte ich den LeserInnen einen grundlegenden Einblick in die Verwobenheit und wechselseitige Verwiesenheit der Kategorie Gender mit der Dekonstruktion bzw. mit dekonstruktiven Reflexionsansätzen erschließen.
Literatur gilt trotz vielfältiger neuer Medienangebote als bedeutende kulturelle Praxis. Diese wurde und wird wissenschaftlich erforscht, wobei in den letzten Jahrzehnten gendertheoretischen Ansätzen wachsende Bedeutsamkeit zugemessen wurde. Gendertheoretisch orientierte Forschung kann und soll die Literaturwissenschaften unterstützen und begleiten. Sie kann zum Beispiel darüber nachdenken, wie literarische Texte funktionieren und wie geschlechtliche Identitäten in diesen konstruiert werden bzw. organisiert sind. Diese Untersuchung erfolgt theoriegeleitet, wobei Theorie und Praxis nicht als starre Oppositionen gefasst werden, sondern als in Wechselwirkung stehende verwobene dynamische Konzepte.
Music
(2010)
The musical ending [of Goethe's Novelle] recalls the fascination with "music as metaphor", "the power of music", among recent and contemporary poets from Pope and Dryden and Collins to E.T.A. Hoffmann and Kleist and, of course to Goethe himself. Music saves Faust's life on Easter morning at the end of a dreadful night, and we'll encounter a similar role of music in his Trilogie der Leidenschaft which we'll read in this context.
Herr Maier wird Schriftsteller (und Schreiber) : oder: Die "Literaturwissenschaft" der Literatur
(2007)
Zu Beginn des Kapitels "Der Doppelzweig des bildlichen Witzes" schreibt Jean Paul in seiner Vorschule der Ästhetik: "Der bildliche Witz kann entweder den Körper beseelen oder den Geist verkörpern. Ursprünglich, wo der Mensch noch mit der Welt auf einem Stamme geimpfet blühte, war dieser DoppelTropus noch keiner." Vielleicht liefert Jean Pauls Metapher der ,Einimpfung' - ein Begriff, der ursprünglich aus der Botanik stammt und dort den Vorgang der ,Aufpfropfung' beschreibt - auch eine Figur, um den Doppel-Tropus ,Literatur der Literaturwissenschaft' und ,Literaturwissenschaft der Literatur' zu denken. Wenn dem so ist, wenn Literatur und Literaturwissenschaft tatsächlich "auf einem Stamm geimpfet" sind, dann stellt sich - beinahe möchte man sagen naturgemäß (im Bernhard'schen Sinne, versteht sich) - die Frage: Was ist der gemeinsame Stamm? Aber auch: Wer pfropft?
Schreiber schreiben, Leser lesen. Leser schreiben, Schreiber lesen. Schreiber schreiben, Leserinnen lesen. Dichter schreiben, Literaturwissenschaftler lesen. Dichterinnen schreiben, Literaturwissenschaftlerinnen lesen. Literaturwissenschaftler schreiben, Dichterinnen lesen... Es ist ein fast unendliches Spiel der Permutationen, das man über Hunderte und vielleicht Tausende von Jahren, als ein immer weiter sich differenzierendes, nachspielen kann.
Ein Blick auf die gegenwärtige Lage der literaturwissenschaftlichen Germanistik weckt den Eindruck, daß ihre Dauerkrise, deren sie sich seit 1966 erfreut, durch zwei völlig entgegengesetzte Therapien gelöst werden soll. Die eine Lösung besteht in einer radikalen Engführung der Literaturwissenschaft, die andere in deren rückhaltloser Erweiterung. Die Frage ist, ob man zugleich ein- und ausatmen kann. Die weitere Frage ist, ob es überhaupt wünschbar ist, die sog. Dauerkrise zu beenden. Wollen wir überhaupt eine Germanistik, die von einem homogenen Theorie-Paradigma zusammengehalten und damit in der Lage wäre, zwischen den zerstrittenen Positionen Konsens zu stiften? Ich denke, wir sollten es nicht wollen. Wenn es eine Lehre von 1945 und 1989 gibt, dann die, daß man schiasmatische Wissenschaftsentwicklungen nicht bedauern, sondern begrüßen sollte. Nicht Einheit, sondern Vielheit, nicht Identität, sondern Differenz, nicht Homogenität, sondern Heterogenität schaffen das Klima für eine kreative Wissenschaft. ...
Das folgende Glossar ist aus mehreren Einführungskursen in die Neuere Deutsche Literaturwissenschaft hervorgegangen. Dort hat es im Anhang des Seminar-Readers der raschen Orientierung im Seminar, aber auch für die Vor- und Nachbereitung gedient. Daher seine Gliederung entsprechend der Seminarsitzungen. Seine Begriffe sind einer Liste entnommen, auf die sich die Dozentinnen und Dozenten des Instituts für Deutsche Philologie an der Universität München verständigt haben. Diese Liste ist als Orientierungswissen für das Grundstudium der Neueren deutschen Literaturwissenschaft konzipiert worden.