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Visibility and digital accessibility of the School of Salamanca in a linked open-data environment
(2019)
This paper raises the bibliographic and technological approach to increasing visibility and accessibility of the work of the School of Salamanca in the current technological state of the web. The objective is to avoid the cultural effect of not acting in this field, for which authors draw an analogy with Plantin's privilege in 16th-Century Spanish printing. The Virtual Library of the School of Salamanca is described as a Linked Open-Data resource about the authors of this school and their digitized works, in which the relationships between authors and concepts are crucial. For this purpose, different properties of the DBpedia ontology are used, and the descriptions of the authors are systematically linked to other Linked Open-Data resources. All descriptions (authors, works and concepts) are offered in Europeana Data Model and MARC 21. Also discussed are the advantages of Wikipedia and Wikidata in increasing visibility.
A summary of this text was presented at the international conference organized by the Max Planck Institute for the History of European Law: "The School of Salamanca: A Case of Global Knowledge Production?", held in Buenos Aires from 24th to 26th October 2018.
Situierte Kritik: Modelle kritischer Praxis in Hermeneutik, Poststrukturalismus und Neopragmatismus
(2008)
Wie ist Kritik an sozialen Verhältnissen möglich? Welches sind ihre Bedingungen, ihre Verfahren und ihre Grenzen? Diese Studie konturiert den Spielraum kritischer Praxis, indem sie die Aspekte der Analyse, Evaluation und Transformation gesellschaftlicher Wirklichkeit mit Blick auf Ansätze hermeneutischer, poststrukturalistischer und neopragmatistischer Philosophie (insbesondere von Gadamer, Butler und Rorty) expliziert. Aufgrund der sozialen Konstitution von Subjektivität, Rationalität und Normativität kann Kritik dabei nicht mit Bezug auf universelle überzeitliche Maßstäbe erläutert werden, sondern als ‚situierte Kritik‘, die ihre Ausgangs- und Orientierungspunkte in den herrschenden Verhältnissen selbst findet.
Max Dessoir
(2010)
Spécialiste d’esthétique philosophique et de psychologie, Max Dessoir (1867–1947) est un des principaux fondateurs de la Kunstwissenschaft. Élève de Wilhelm Dilthey, il fait des études de philosophie à Berlin, où en 1889 il soutient une thèse sur Karl Philipp Moritz. En 1892, il obtient un diplôme de médecine à Würzburg. En 1888, Dessoir fonde la « Gesellschaft für Experimental-Psychologie », dédiée à l’étude de l’hypnose et des phénomènes paranormaux. Il enseigne la philosophie à Berlin de 1897 à 1933. Suite à la montée du national-socialisme, il est d’abord privé de sa chaire à cause de ses origines juives, et, en 1936, interdit définitivement d’enseigner en Allemagne. Après la guerre, il occupe la chaire de philosophie à l’Université de Francfort. Dessoir dédie l’essentiel de ses travaux à l’étude des connexions entre arts et sciences. ...
Depuis sa naissance, notre science est restée fidèle dans son évolution à une idée, celle qui veut que la jouissance et la création esthétiques, la beauté et l’art soient indissociables. L’objet de cette science peut présenter des formes diverses, mais il est homogène. L’art est considéré comme la représentation du beau réalisée à partir d’un état esthétique et perçue à travers une attitude comparable ; la science de ces deux états psychiques ainsi que du beau, avec ses modifications, et de l’art avec ses genres, le tout constituant une entité unique, porte un seul nom, celui d’esthétique. ...
L’esthétique a grandi dans les bras maternels de la philosophie. Mais la philosophie a toujours le droit de se porter vers l’esthétique sans perdre pour autant de son essence : le philosophe se tournant de tous les côtés pour trouver la signification et le fondement de ce qui est donné n’a pas besoin de détourner son regard des faits esthétiques. S’il veut appréhender en toute rigueur conceptuelle ce qui est et se manifeste en tant que beau, laid, sublime, etc., il doit pouvoir rapporter des constats empiriques (comme par exemple le caractère satisfaisant de certains couples de couleurs) à un concept plus général (par exemple celui d’harmonie), et rapporter ce dernier à son tour à une attitude intellectuelle plus large (disons, celle de la pure contemplation gratuite). C’est par cette réduction progressive aux principes les plus généraux que peuvent apparaître les relations [Zusammenhang] qu’entretiennent entre elles les connaissances singulières, ces dernières pouvant souvent prendre alors un nouveau sens. Grâce à cette méthode, on peut en particulier espérer saisir dans leur dernier fondement le caractère différent des grandes formes de culture que sont la religion, la science et l’art. Si des forces particulières sont à l’œuvre dans chacun de ces trois grands domaines, si des attitudes intellectuelles différentes constituent le préalable à ces formes de culture, il est sans doute aussi possible de définir la fonction rationnelle à travers laquelle l’esprit humain construit le champ de valeur esthétique. Si l’on pose que, dans le plaisir et la création artistiques, le donné est circonscrit et mis en forme par la fonction intellectuelle de la pure contemplation, non seulement l’attitude esthétique s’avère distincte des attitudes religieuse et scientifique mais, en outre, le trait fondamental qui traverse toute la vie esthétique se voit ainsi qualifié. ...
Le xviiie est le siècle de la révolution constitutionnelle moderne. Les droits de l’homme et du citoyen y furent proclamés, et le droit ancré dans la démocratie. Les choses ont commencé dans quelques États d’Amérique, leur unification a suivi, mais l’événement à proprement parler dramatique, qui allait faire de la révolution constitutionnelle un événement irréversible, fut la Révolution française de 1789. Revendiquer des constitutions fut l’élément dominant du xixe siècle, tenir la promesse de réaliser les droits de l’homme et la démocratie celui du xxe siècle. L’arc se tend sans peine de 1789 à 1989, et même après, il n’y a pas d’issue visible, pas d’alternative en vue. Même le vent froid de la globalisation n’a pas fait pâlir les espoirs utopiques orientés vers la démocratie et les droits de l’homme. ...
Hauke Brunkhorst
(2009)
Hauke Brunkhorst ist ein deutscher Soziologe, geboren 1945 in Marne (Holstein). Er studierte Deutsche Literaturwissenschaft, Philosophie, Erziehungswissenschaft und Soziologie in Kiel, Freiburg und Frankfurt. 1978 wurde er promoviert (Praxisbezug und Theoriebildung). 1982 folgte seine Habilitation im Fach Erziehungswissenschaft an der Universität Frankfurt, 1985 die Habilitation im Fach Soziologie ebendort. Von 1985 bis 1997 hatte er Professuren und Gastprofessuren am IAS in Wien und an den Universitäten Frankfurt, Duisburg und der FU Berlin inne. 1995 bis 1997 war Brunkhorst Research Fellow des Kulturwissenschaftlichen Instituts des Wissenschaftszentrums Nordrhein-Westfalen. Seit 1997 ist er Professor für Soziologie an der Universität in Flensburg.
Welchen Stellenwert hat der Glaube im Bereich der menschlichen Überzeugungen? Wie verhalten sich Wissen und Gewissheit zueinander? Die moderne Wissenschaft wird oft mit Faktenwissen gleichgesetzt, doch ohne die Reflexion über die Welt ist Wissenschaft nicht denkbar. Sie findet z.B. statt in der Religionsphilosophie.
In dieser wirtschaftsphilosophischen Arbeit wird die fundamentale Bedeutung einer realistischen Gründe-Perspektive für die Erklärung und Beurteilung ökonomischer Praxis herausgestellt. Die Gründe-Perspektive bezieht sich in systematisierender Form auf alltägliche Interpretations- und Verstehensleistungen und greift zur Erklärung ökonomischer Sachverhalte auf Zuschreibungen mentaler Zustände zurück.
In Abgrenzung von einer Nicht-Gründe-Perspektive, die einer Vielzahl ökonomischer Erklärungsansätze, z.B. experimentell verhaltensökonomischer, behavioristisch orientierter neoklassischer oder evolutionärer Art, zugrunde liegt, wird betont, dass das Geben und Einfordern von Gründen in der ökonomische Sphäre in explanativer, prognostischer und normativer Hinsicht von großer Relevanz ist.
Ökonomische Grundbegriffe wie Präferenz, Axiom oder Nutzen werden thematisiert und deren Stellenwert innerhalb ökonomischer Theorien wird herausgestellt. Die behavioristische Fokussierung auf beobachtbare Wahlhandlungen wird in den Kontext naturalistischer Tendenzen in der Ökonomik gestellt. Dabei werden insbesondere wissenschafts- und erkenntnistheoretische Aspekte unter Bezugnahme auf die Philosophie des Geistes angeführt. Es zeigt sich, dass der Ökonom und Philosoph Don Ross einen in Abgrenzung zu Psychologie und experimenteller Verhaltensökonomik bestimmten Wahlbegriff auf aggregierter Ebene vertritt, unter anderem durch Bezug auf Dennetts Theorie intentionaler Einstellung und Möglichkeiten der Mustererkennung. Im Gegensatz dazu stehen Positionen, die mentale Zustände durch Bezug auf die Kognitionsforschung, stellenweise auch die Neuroökonomik, als real ansehen und für eine Erklärung von Präferenzen heranziehen wollen.
Unter Bezug auf die Position Nida-Rümelins wird die wirtschaftsphilosophische Relevanz von Kohärenz, struktureller Rationalität und einem Gründe-Realismus herausgestellt. Der Bezug auf lebensweltliche Gewissheit und formale Eigenschaften „alltagspsychologischer“ Zugänge soll eine bestimmte Gründe-Perspektive stützen. In welcher Hinsicht eine solche Stützung gerechtfertigt werden kann, wird unter anderem durch Bezug auf wissenschaftliche Theorien zur Alltagspsychologie (folk psychology) dargestellt. Die Vielfalt von Gründen, aus denen ökonomische Akteure handeln und die Personen auch in ökonomischen Kontexten prinzipiell verfügbar sind, wird unter Berücksichtigung spezifischer ökonomischer Rollen betont. Abschließend wird die soziale Bedingtheit von Gründen und die immanente Normativität der ökonomischen Praxis thematisiert. Die Möglichkeit einer normativen Rekonstruktion der Wirtschaftssphäre wird anhand der Theorie sozialer Freiheit von Axel Honneth diskutiert.
La Escuela de Salamanca ha sido considerada desde hace tiempo como un fenómeno español, ibérico o europeo. Se subraya también siempre que su influencia se extendió desde Salamanca al resto del mundo, llegando hasta América y Asia ¿Es, sin embargo, esta perspectiva realmente adecuada para analizar la indiscutible importancia de la Escuela en la construcción de un lenguaje jurídico-político? ¿No se trataría, más bien, de un caso de producción global de conocimiento a abordar más desde las metodologías de la historia del conocimiento que desde las propias de la historia de la ciencia? Si tenemos en cuenta, además, que la Escuela de Salamanca no fue, meramente, una comunidad de discurso erudita, sino también una comunidad de producción de normas pragmáticas, estos interrogantes se vuelven aún más acuciantes. En este working paper se recogen algunas reflexiones sobre los interrogantes mencionados, pretendiendo que sirvan de base para las discusiones que tendrán lugar en las jornadas La Escuela de Salamanca, ¿un ejemplo de producción global de conocimiento?, a celebrar en octubre de 2018. El presente working paper es, además, un trabajo preparativo para la contribución a un volumen colectivo dedicado a este mismo tema.
Ideally located in the writer's position of the voice "contractus (& quasi contractus)" of the Dictionary, the author of this paper tries to discover the difficulties that his drafting could imply. The difficulties encountered come mainly from the chronology and the diversity of profiles between the members of the Salamanca School that deal with contracts, from the unusual historical and material extension of the elements they work with and from the need to understand their methods, their initial assumptions and the aims they pursue. At the end, some practical considerations are offered to the voice's drafting.
Within the last year, expressions of second-hand embarrassment on Twitter significantly increased. We show how this relates to the current situation in U.S. politics under Trump and provide two explanations for why people feel this way in response to his actions. First, compared to former politicians, Trump’s norm violations seem intentional. Second, intentional norm violations specifically threaten the social integrity of in-group members—in this case, U.S citizens. We theorize that these strong, frequent and widespread feelings of second-hand embarrassment motivate political actions to prevent further harm to individuals’ self-concept and protect their social integrity.
El siguiente trabajo se propone como objetivo la reconstrucción de la estructura interna que constituye a las acciones con sentido (o intencionales) de los hombres tal como puede ser hecha desde la pragmática trascendental del lenguaje de Karl-Otto Apel. Resaltando (I) el papel decisivo que juega el lenguaje y el discurso en la constitución como tal de las acciones intencionales, se procede a la explicitación de una estructura interna de pretensiones de validez similar a la que es posible encontrar en el discurso explícito, tal como lo hicieron los planteos clásicos de Karl-Otto Apel. Luego de la discusión de algunas críticas que pueden hacerse a esta reconstrucción (II), se arriban finalmente a algunas conclusiones referidas a los presupuestos de las acciones no lingüísticas (III).
O Sentido do Direito
(2014)
The growing interest of the Arabs in Arabic translations from Greek since the 8th century has been interpreted as a sign of humanism in Islam. This is comparable to humanists in Europe who, since the 14th century, considered the Greek and Latin literature the foundation of spiritual and moral education. We will have to address the question of whether a similar ideal of education has been developed in harmony with religion in the Islamic cultural sphere. The perceived tension between the humanists of antiquity and Christianity has a parallel in the tensions between Islamic religiosity and a rational Islamic worldview. However, there are past and present approaches to developing an educational ideal, which is comparable to the European concept of a moral shaping of the individual. The Qur’ān and Islamic tradition do not impede the free development of personality and creative responsibility if their historicity is taken into account and if they are not elevated to an unreflected norm.
Keywords: Humanism, Islamic and European, education, individuality, solidarity, free will and subordination, Ibn al-Muqaffa’, Fārābī, Yaḥyā Ibn’Adī, Miskawayh, Rāghib al-Isfahānī, Ghazzālī, Ibn Khaldūn, Renaissance of Islam - Italian Renaissance, Pico della Mirandola, Nahda, Tāhā Husayn, Sadik J. Al-Azm, Edward W. Said, Naquib Al-Attas
Der Beitrag arbeitet die moralische Subjektivierungsform ökonomischer Verschuldung heraus. In Auseinandersetzung mit Friedrich Nietzsche, Max Weber und Pierre Bourdieu wird argumentiert, dass die Form der Verschuldung durch eine spezifische Zeitlichkeit geprägt ist. Die zentrale These lautet, dass sich das Zeitregime von Schuld und Schulden als paradox erweist: Einerseits ermöglicht die moderne "Entzauberung der Welt" (Max Weber) eine Öffnung auf gesellschaftliche Zukünfte hin und diese temporale Öffnung bildet auch eine notwendige Bedingung kapitalistischer Investitionstätigkeiten. Andererseits verstellt das gegenwärtige rigide Zeitregime der Schuld(en) jedoch die Möglichkeit subjektiver und politischer neuer Anfänge in der Zeit, da die Verschuldung eine Dynamik der ökonomischen Determinierung gegenwärtiger Handlungsoptionen durch den Zwang zur Rückzahlung ins Werk setzt.
Die vorliegende Dissertation untersucht wie Hegel nicht nur den Begriff der Freiheit, aber auch das Subjekt der Freiheit verstanden hat. Sie versucht diese Idee Hegels durch die gegenwärtige Philosophie, insbesondere die analytische Philosophie, und auch die Soziologie, insbesondere die Soziologie von Talcott Parsons, umzudenken.
Im ersten Kapitel wird die Idee der Freiheit als private Sphäre analysiert, die durch eine ganze Gruppe von subjektiven Rechten gesichert oder sogar geschaffen ist, die ohne Hilfe anderer Struktur existierte und von den meisten Naturrechttheoretiker verteidigt wurden, den alten sowie den neuen. Hegel nannte diese Ideen abstraktes Recht. Er wirft diese Vorstellung als noch funktional unvollständig oder metaphysisch inkohärent vor.
Im zweiten Kapitel wird das andere große Modell der Freiheit in der Moderne, nämlich, die Freiheit als Autonomie analysiert. Hegel untersucht diese Idee durch die Konzepte der Verantwortlichkeit und Handelns, die sich in der Praxis des Strafrechts befinden. Nach Hegel ist Verantwortlichkeit das Ergebnis einer gesamten sozialen Beziehung der Anerkennung. Daher ist ein Verbrechen, erstens, die Verletzung einer Norm und diese Normverletzung ist zugleich Anerkennungsverletzung. Zweitens, ein Verbrechen ist die Negation des objektiven Rechts, die dem Akteur zurechnen werden kann, und das ist, warum ein Verbrechen eine Anerkennungsverletzung ist. Ein zentraler Begriff für die Verantwortlichkeit ist der Vorsatz. In dem Konzept von Vorsatz finden wir sowohl die Absicht wie das Wissen, d. i. wenn jemand vorsätzlich handelt, nicht nur wünscht er etwas, sondern er denkt auch, wie er handeln sollte, um zu erreichen, was sie will. Man findet im Vorsatz auch die Idee des Grundes. Dies öffnet wiederum die Idee der moralischen Standards und auch die Möglichkeit eines moralischen Gewissens. Hegel sieht Kant als der größte Befürworter dieser Theorie. Hegel kritisiert Kant, dass er eine Art solipsistischer Methode hat. Die Gewissheit des Guten in die eigene Handlung könnte das Böse verbreiten. Hegel argumentiert, dass ohne eine soziale Basis dafür, die Sittlichkeit, solche moralischen Standards und moralisches Gewissen nicht möglich sind.
Im letzten Kapitel wird analysiert, wie jemand in der hegelschen Lehre frei sein könnte. Nach Hegel gibt es mindestens drei Bedingungen, sodass jemand tatsächlich als frei betrachtet werden könnte: eine metaphysische Bedingung, eine psychologische Bedingung, und eine soziale Bedingung. Diese drei Bedingungen entsprechen den Hauptkritiken gegen die Möglichkeit des freien Willens. Die erste der Kritik besagt, dass es in einer durch mechanische Gesetze geregelten Welt keinen Raum für die Freiheit gibt. Nach Hegel sei die Möglichkeit der teleologischen Erklärung zugleich die Möglichkeit für die Freiheit. In der psychologischen Bedingung argumentiert Hegel, dass das hedonistische oder Wunsch-Überzeugung-Handlung Modell in der Tat fast eine mechanische Erklärung wäre. In einem systemischen Selbstbewusstsein Vorstellung der individuellen Persönlichkeit, in dem alle Teile des Akteurs systemisch artikuliert sind, könnte das Individuum wirklich frei handeln, da das Individuum nicht mehr in seinen Wünschen oder anderen Trieben verschwunden wäre. Am Ende argumentiert noch Hegel, dass die Gary Strawson‘ Kritik an der Idee des freien Willens, dass wir nicht den ersten Umstand unseres Lebens, unsere Sozialisierung und Erziehung ändern könnten, nicht korrekt wäre. Freiheit bedeutet nicht, jeden Aspekt unseres Lebens zu bestimmen, sondern uns selbst und unser Handeln zu bestimmen. Hegel zufolge können wir in der Tat unseren Anfang ändern, indem wir uns selbst neu interpretieren. Diese Art der Selbstbestimmung setzt die Teilnahme an der Gesellschaft voraus. Wenn wir die semantische in unserer Kultur ändern, ändern wir uns selbst und solches aktive Engagement mit unserer Gesellschaft wäre auch eine Bedingung, um ein freies Leben zu führen.
Ziel der vorliegenden Arbeit ist es, basierend auf den eigenen Publikationen, aktuelle Erkenntnisse aus dem Themenkomplex „Sitzen und Gesundheit“ einschließlich Gesundheitspotentiale leichter Aktivitäten bei Erwachsenen resümierend zusammenzustellen und kritisch zu bewerten.
Das Augenmerk der bewegungsbezogenen Gesundheitsforschung galt anfänglich primär den sportlichen und eher intensiven körperlichen Aktivitäten. Neuere Erkenntnisse lassen annehmen, dass auch andere Bewegungsarten als Sport, z.B. Bewegung im Alltag, gesundheitswirksam sein können. Die besondere Bedeutung dieser Aktivitäten liegt darin, dass sie mit wenigen Ausnahmen für jeden geeignet, risikoarm und niedrigschwellig sind. Die am besten erforschte Alltagsbewegung ist das Gehen. Die gesundheitliche Benefits von Gehen gelten sowohl im Bereich der Prävention als auch der Therapie als wissenschaftlich gesichert. Regelmäßiges Fahrradfahren verbessert die kardiorespiratorische Fitness und mindert das Gesamtmortalitätsrisiko. Die Gesundheitseffekte anderer Alltagsaktivitäten lassen sich u.a aufgrund methodischer Herausforderungen schwieriger nachweisen und quantifizieren. Neuere Arbeiten liefern Hinweise, dass Bewegung schon mit leichter Intensität zumindest bei unfitten und inaktiven Bevölkerungsgruppen ein hohes Gesundheitspotential haben kann.
Veränderte Lebensgewohnheiten in Lebensbereichen wie z.B. Arbeit, Freizeit und Fortbewegung haben dazu geführt, dass ein überwiegender Anteil der Bevölkerung den Tag sitzend verbringt. Seit den letzten 10-15 Jahren widmet sich eine wachsende Anzahl von Arbeitsgruppen der Erforschung möglicher gesundheitlicher Konsequenzen des langen ununterbrochenen Sitzens. „Sendentäres Verhalten“ (sedentary behavior), in Abgrenzung zur Inaktivität, bezeichnet Aktivitäten, die sitzend oder zurücklehnend stattfinden und mit einem Energieverbrauch von 1-1,5 MET einhergehen. In Akzelerometerstudien wird sedentäres Verhalten als Aktivitäten, bei denen das Signal mindestens eine minutelang unter 100 counts per minute (cpm) ausweist, definiert.
Akzelerometerdaten deuten darauf hin, dass sedentäres Verhalten in den Industrieländern weit verbreitet ist: es macht bis zu 69% der wach verbrachten Zeit aus.
Unsere Literaturanalyse nach Reviews und systematischen Reviews zum Thema sedentäres Verhalten und Gesundheit bei Erwachsen ergab 13 Übersichtsarbeiten. Die Übersichtsarbeiten weisen eine hohe methodische Heterogenität auf. 9 der Übersichtsarbeiten sind narrative Reviews. Die Literaturanalyse liefert Hinweise für eine graduelle Abnahme der Evidenz für die Zusammenhänge von sedentärem Verhalten mit Mortalität, Morbidität und gesundheitlichen Risikofaktoren. Die Ergebnisse von Querschnitt- und Langzeitbeobachtungsstudien zu möglichen Auswirkungen sedentären Verhaltens auf die Gesundheit sind durch Interventionsstudien nur sehr bedingt untermauert, (patho)physiologische Wirkmechanismen hinter sedentärem Verhalten nicht gesichert, und ein klarer Dosis-Wirkungszusammenhang nicht definierbar. Dennoch scheint die Evidenzlage beim Endpunkt Mortalität relativ eindeutig, bei den Endpunkten Morbidität und Risikofaktoren aber zunehmend schwach und widersprüchlich. Im Fazit deuten die Ergebnisse dieser Übersicht – besonders beim Endpunkt Mortalität und etwas weniger eindeutig bei kardiovaskulären Erkrankungen und Diabetes – auf die gesundheitsschädliche Wirkung langen ununterbrochenen Sitzens hin. In der Konsequenz ist neben Aktivität gemäß Leitlinien zu empfehlen, längere Sitzphasen nach Möglichkeit zu unterbrechen und durch Bewegung mit zumindest leichter Intensität zu ersetzen.
Es liegen einige Hinweise vor, dass nicht nur die Gesamtzeit des sedentären Verhaltens, sondern auch das Muster, in dem es entsteht, von gesundheitlicher Relevanz sein könnte. Neben der Erforschung (patho)physiologischer Effekte des langen Sitzens, ist die Überprüfung von Machbarkeit und Akzeptanz von Unterbrechungsintervention von großer Relevanz. In unserer eigenen Untersuchung haben wir in vivo überprüft, wie weit Beschäftigte mit einer überwiegend sitzenden Tätigkeit vorgegebenen Unterbrechungsempfehlungen nachkommen können, wie sie diese subjektiv erleben und wie sie ihre eigene Bereitschaft einschätzen, die Empfehlungen auch längerfristig durchzuführen.
Unsere Ergebnisse deuten darauf hin, dass schon eine einmalige Information über die Gesundheitsrisiken langen Sitzens und über Unterbrechungen zu einer zumindest kurzfristigen Reduktion der Sitzphasen führen kann. In unserer Untersuchung erwies sich ein Unterbrechungsintervall von 60 Minuten als am ehesten realisierbar. Dieses Intervall wurde von den Teilnehmern am angenehmsten wahrgenommen.
The central aim of this dissertation is the defense of the metaphysical thesis of Physicalism against two anti-physicalist arguments, namely, the conceivability arguments and the knowledge argument. Both arguments confront Physicalism with apparently incompatible facts about consciousness, in particular, the so-called subjective character of consciousness. Both arguments depart from epistemic premisses to arrive at metaphysical conclusion that physicalism is false. This step will be justified through an inferential connection between conceivability and metaphysical possibility. The hypothesis is that the set of physicalist responses known as the Phenomenal Concept Strategy is the most promising way to respond to the anti-physicalist arguments. In this dissertation I have critically assed the so-called Phenomenal Concept Strategy and I have defended it from new formulated objections.
Meine Arbeit beschäftigt sich mit dem systematischen Problem des Selbstbewusstseins, nämlich mit der konzeptuellen Möglichkeit des Selbstbewusstseins. Für die Problemstellung meiner Arbeit ist die Kritik von Fichte und der Philosophen der Heidelberger Schule (dazu gehört Dieter Henrich, Ulrich Pothast, Manfred Frank und Konrad Cramer) an Kant von zentraler Bedeutung. Sie besagt, dass Kants Selbstbewusstsein konzeptuell unmöglich ist, weil es sich in einem petitio principii bzw. Zirkelargument verwickelt. Aufgrund dieser Problemstellung formuliere ich die Fragestellung meiner Arbeit folgendermaßen: ob erstens die Kritik dieser Philosophen angemessen ist? Ob zweitens die Selbstbewusstseinstheorie der Philosophen der Heidelberger Schule, die als Alternative zu Kants Selbstbewusstseinstheorie gemeint ist, überzeugend ist? Drittens ob Kants Selbstbewusstsein konzeptuell unmöglich ist bzw. ob bei Kant eine Theorie des Selbstbewusstseins vorliegt, die philosophisch möglich erscheint?
Die Ergebnisse meiner Untersuchung, die zugleich als Thesen meiner Dissertation gelten, zeigen: erstens sind die Kritiken von Fichte sowie Henrich und seinen Schülern an Kant nicht angemessen. Die Argumentation, derer sich Fichte und Henrich bedienen, um die definitorische Unmöglichkeit der Selbstbewusstseinsphilosophie Kants zu belegen, basiert auf ihrer Gleichsetzung von Apperzeption und Reflexion. Die Apperzeption kann konzeptuell jedoch nicht mit der Reflexion gleichgesetzt werden. Zweitens sind die von Henrich und seinen Schülern entwickelten Selbstbewusstseinstheorien nicht überzeugend, weil sie paradoxerweise zum Verschwinden des erklärten Phänomens, d. h. des Selbstbewusstseins führen. Die Unzulänglichkeit der Selbstbewusstseinstheorie Henrichs verkleinert aber nicht ihre Beiträge zu der Philosophie des Selbstbewusstseins. Durch seine Untersuchung und seine Reflexion über das Selbstbewusstseinsproblem hat Henrich die anderen Dimensionen des Selbstbewusstseinsphänomens eröffnet, die ihn dazu veranlasst haben, dass dasselbe Phänomen von der Perspektive der Intuition und der Mystik und der Romantik her herangegangen werden kann, wie die Selbstbewusstseinstheorien von seinen Schülern zeigen. Drittens ist Kants Selbstbewusstseins nicht unmöglich, wie Fichte, Henrich und seine Schüler behaupten. Kant hat eine Theorie des Selbstbewusstseins. Für ihn ist das Selbstbewusstsein bzw. das Ich ein spontanes Handeln im Form des Ich denke. Es fungiert als das Zugrundeliegende, hypokeimenon, als transzendentales Subjekt im Erkenntnisprozess. Kants Selbstbewusstsein ist ein transzendentales Selbstbewusstsein, das logisch angenommen werden muss als die objektive und notwendige Bedingung der Möglichkeit der Erfahrung.
Das kantische Subjekt kann jedoch nicht im ontologischen Sinne, nämlich als Substanz oder als ein erkennbares Dingartiges verstanden werden. Kant selbst warnt sein Leser an einigen Stellen der KrV, damit sein Subjekt nicht missverstanden wird. Es ist zwar ihm zufolge eine Substanz oder ein Ich, aber „nur eine Substanz in der Idee“ (A 351) oder „(Ich) Substanz im Begriffe, einfach im Begriffe“ (A 400) und nicht in Realität. D. h. das kantische Subjekt ist ein transzendentales Subjekt.
Kants Selbstbewusstsein thematisiert also einen philosophischen Sachverhalt. Worin liegt der philosophische Sinn des Selbstbewusstseins Kants? Er liegt erstens in seiner Transzendentalität, nämlich als Prinzip bzw. als apriorische Bedingung der Möglichkeit der Erkenntnis. Und seine Transzendentalität erlaubt uns nicht, es auf ein bestimmtes wissenschaftliches Problem zu reduzieren. Die Reduktion des Phänomens des Selbstbewusstseins Kants hat uns unmittelbar von seiner Transzendentalität weggeführt. Das philosophische Selbstbewusstsein kann nicht epistemologisch als natürliches Phänomen behandelt werden. Solche Naturalisierung hat unmittelbar seine Transzendentalität verneint. Kants Selbstbewusstsein hat auch zweitens philosophischen Sinn, weil unsere Erkenntnis davon bloß aus dem Begriff der Erfahrung kommt. Das heißt, wir haben Erkenntnis über dieses Selbstbewusstsein bloß aufgrund der Erklärbarkeit der Erfahrung.
Am Ende seiner Tage sprach der König Salomon: "Die Sonne geht auf und unter [...]. Was gewesen ist, wird [wieder] sein, was getan worden ist, wird [wieder] getan, und es gibt nichts Neues unter der Sonne".1 Im August des Jahres 1881, beim Spaziergang durch die Wälder am See von Silvaplana, bei einem mächtigen, pyramidal aufgetürmten Block, "6000 Tausend Fuß jenseits von Mensch und Zeit" kam einem Professor der klassischen Philologie jener Gedanke wieder – der Gedanke der "Ewigen Wiederkunft des Gleichen", die er später als das Hauptprinzip der altgriechischen Zeitauffassung formulierte. Der Professor hieß Friedrich Nietzsche.2 Mehr als hundert dreißig Jahre sind nach seinem Spaziergang vergangen, und mehr als hundert dreißig Jahre dauert die Diskussion über die zyklische und lineare Zeit. Es wurde mehrmals behauptet und wieder verworfen, dass der Hauptunterschied zwischen dem "hebräischen" und "griechischen" Denken, zwischen den "Gläubigen" und den "Heiden" gerade in dieser Zeitauffassung besteht. Die mythische Zeit der Griechen sei räumlich und statisch, sie habe kein Ziel und keinen Zweck, sie wandle im ewigen Kreislauf gefühllos und träge, ohne Anfang und Ende, ohne Wohin und Woher, ohne Hoffnung. Die Zeit der Tora hingegen sei zielgerichtet. Die Erschaffung der Welt und die Sintflut, der Auszug aus Ägypten und die Wüstenwanderung – all dies seien einmalige Ereignisse, welche sich nie wiederholen würden. Sie alle hätten einen Zweck – die Erlösung der Menschheit. Jede von ihnen sei ein Fortschritt – ein Schritt auf dem Pfad der Geschichte, der Geschichte mit Anfang und Ende, mit Wohin und Woher, mit Hoffnung.3
Die vorliegende Arbeit beabsichtigt nicht, die intuitive Völkerpsychologie zu untersuchen. Vielmehr handelt es sich hier um die Vorstellungen einer begrenzten Gruppe der mittelalterlichen jüdischen Intellektuellen aus dem Spanien des 12. Jhs. Ihre Gedanken waren gleichzeitig von der griechischen Philosophie und dem jüdischen Messianismus geprägt. Eben diese eigenartige Kombination macht die Frage nach ihrer Zeitauffassung so spannend. Als Quelle bei einer solchen Fragestellung scheinen mir die beiden Bücher des Rabbi Abraham Ibn Daud von Interesse zu sein – sein Geschichtsbuch Sefer ha-Qabalah (SQ) und sein philosophisch-theologisches Traktat Al-ʿAqīdah ar-Rafīʿah (AR).
Abraham Ibn Daud, Geschichtsschreiber, Philosoph, Astronom, vermutlich auch Arzt, wurde geboren um 1110 in Cordoba, der Hauptstadt des umayyadischen Kalifates und dem kulturellen Zentrum Andalusiens des 12. Jhs. Er war ein Sohn der Tochter des berühmten Gelehrten Isaak Albaliyah.4 Die Erziehung genoss er im Hause dessen Sohnes, seines Onkels, und dem Schüler von Isaak Alfasi, – Baruch Albaliyah.5 Aus seinen Schriften kann man schließen, dass er ausreichende Kenntnisse sowohl in der Bibel, dem Talmud, der hebräischen Poesie als auch in den Naturwissenschaften und der griechischen Philosophie besaß. Darüber hinaus soll er auch mit der polemischen Literatur der Christen, der Moslems und der Karäer, eventuell auch mit dem Evangelium und dem Koran vertraut gewesen sein. Von seinen Werken sind uns sieben bekannt, zwei davon allerdings nur ihrem Namen nach.6 Das auf Arabisch verfasste theologisch-philosophische Traktat Al-ʿAqīdah ar-Rafīʿah (AR, "Der erhabene Glaube") ist nur in zwei hebräischen Übersetzungen aus dem 14. Jh. – Emunah Ramah (ER)7 von R. Salomon Ben Labi und Emunah Niśʾah (EN)8 von R. Samuel Moṭoṭ erhalten.9 Das traditionshistorische Buch Sefer ha-Qabalah (SQ, "Buch der Tradition")10 wurde auf Hebräisch verfasst und von drei weiteren ebenso auf Hebräisch geschriebenen Werken begleitet: Divrey Malkey Yisraʾel (DMY, "Geschichte der Könige Israels"),11 Midraš Zeḫaryah (MZ, "Auslegung der Prophetie Sacharjas")12 und Zeḫer Divrey Romi (ZDR, "Chronik der römischen Geschichte").13
Historical scholarship on the sixteenth-century neo-scholastic debate about American Indians generally centers on the thought of Francisco de Vitoria. Focusing on Alfonso de Castro’s short treatise Utrum indigenae (1543), this paper challenges both an exclusive concentration on Vitoria as well as the received contention that the thought of the School of Salamanca rendered a single, unified view of Amerindians. In Utrum indigenae, Castro argued that American Indians should be instructed in liberal arts and theology thus constructing a strikingly different image of the peoples of the New World as compared to accounts by Vitoria or Francisco Suárez. While the historian Martin Nesvig has recently proposed an Erasmian humanist contextualization of Castro’s treatise, I argue that the image of American Indians presented in Utrum indigenae testifies to an alternative, novel way of writing about American Indians from within the framework of the School of Salamanca which has so far remained unnoticed.
El artículo, después de haber tratado la cuestión del tiranicidio en Tomás de Aquino y en Bartolo de Sassoferrato, muestra cómo Francisco de Vitoria, consciente de las soluciones que ofrecen los autores anteriores a él, afronta el argumento de forma innovadora, aunque en línea con la tradición anterior. En la base de la solución que propone Vitoria, se encuentra, en efecto, la afirmación de un derecho a la auto-defensa, entendido como derecho natural inalienable que reside en los individuos y en las comunidades; un derecho que siempre lo pueden ejercer los súbditos en relación con un gobernante que se convierte en tirano. Vitoria expresa de este modo el principio de resistencia a la autoridad injusta e ilegal en los términos de un derecho subjetivo, el de la auto-defensa, pero, al mismo tiempo, señala los límites afirmando la necesidad de cada individuo de respetar y someterse a un orden de justicia objetivo. De aquí su prohibición a un particular de matar a un hombre, aunque sea un tirano, sin un justo procedimiento jurídico. Así pues, el artículo muestra, a través del debate sobre la licitud del tiranicidio cómo en la obra de Vitoria se encuentra una teoría sólida de la soberanía juntamente con la afirmación tenaz de derechos naturales individuales. En efecto, Vitoria retoma, por una parte, una tradición de pensamiento para la que la formación de las sociedades políticas era la consecuencia de la sociabilidad natural de los hombres; y por otra, desarrollaba una teoría coherente de los derechos subjetivos a partir de la necesidad misma de los individuos de asociarse los unos con los otros para los fines de una vida éticamente justa y gratificante.
La Critique de la vision phénoménologique est une tentative de critique de la phénoménologie, à travers la Théorie Critique et la philosophie d’Emmanuel Lévinas, qui caractérise la phénoménologie comme une science eidétique. Nous proposons donc une bref histoire du concept de l’eidos, qui est compris comme un archétype idéal depuis le Platonisme. On aborde l’opposition du matérialisme et de l’idéalisme ancrée dans la Théorie des formes de Platon, l’hylémorphisme d’Aristote, et la Théorie matérialiste des simulacres de Lucrèce. La question substantielle : «matérialisme et/ou idéalisme »nous conduit aux principes de l’individuation, au formalisme et aux concepts de la réification. La phénoménologie de Husserl est née dans le Kulturkampf qui se caractérise par le déferlement du positivisme dans l’idéalisme. Sous cet angle, la phénoménologie est un certain tour de force idéaliste contre le positivisme. La phénoménologie essaie d’intégrer les courants contemporains de la philosophie allemande, et c’est ici et non en biologie que se situe la lutte pour la vie, selon Husserl. Le problème de la vision phénoménologique, en regard de la «race» comportant des significations qui ne sont pas particulièrement biologiques, est un problème qui remonte à Aristote. Selon lui, l’usage de l’eidos est aussi synonyme des catégories de genre et d’espèce. L’eidos d’Husserl inclut la conception d’Aristote, et se présente comme un moyen possible de construire un concept métaphysique de la race en dehors de la biologie. L’eidos en tant que type, tel qu’il est constitué dans la Lebenswelt , se caractérise finalement par la transformation de l’Umwelt en Heimwelt, dans lequel l’individu est passivement formé par la tradition, l’habitus, par terre et sang–un monde de la moyenne, de la « normalité ». Nous essayons de montrer, dans le processus de ce bouleversement irrationnel de la philosophie en Allemagne, le cas particulier et tragique du devenir de la phénoménologie de Husserl entre les mains de Heidegger, qui suggère une auto-limitation de la phénoménologie à la recherche d’un sens qui vise à l’unité du Dasein . Notre but ici est simple et radical : de même que Marx a montré que la philosophie de Hegel n’est rien d’autre que la collection des catégories de la philosophie bourg eoise en déclin, Lévinas et l’École de Francfort ont montré que la philosophie de Heidegger n’est rien d’autre qu’une poursuite de la philosophie hégélienne, mais à un niveau plus abstrait et aussi plus global.
Estudio de la producción científica sobre la Escuela de Salamanca en los últimos años y perspectivas de futuro. Se plantea la dificultad de delimitación temporal de la Escuela y se propone la ampliación de su ámbito de estudio, no sólo a los temas tradicionales como la teología (moral, el problema del mal, la polémica De auxiliis), el derecho (el derecho natural y los derechos humanos, la soberanía, la guerra justa,…) y la economía (la propiedad privada, el dinero, el valor y el precio, el interés), sino también a problemas científicos sobre el espacio, el tiempo y otros.
El siguiente artículo presenta una reconstrucción del debate acerca de la condición teológico-política de los indios americanos en el siglo XVI. Se concentra, en particular, en uno de los elementos presentes en una controversia compleja: las opiniones sobre el paganismo de los pueblos "descubiertos" en América y en Asia. Luego de analizar las condenas por "idolatría" de los indios que encontramos en escritos de cronistas como López de Gómara o Fernández de Oviedo, se resumen los argumentos elaborados por maestros importantes de la Universidad de Salamanca (De Paz, Vitoria, Soto) para rechazar la forma confusa en la que estaban siendo planteados los dilemas teológicos surgidos tras el descubrimiento de los nuevos pueblos paganos. El trabajo hace énfasis también en la importancia del papel jugado por los teólogos salamantinos en un proceso más amplio de conceptualización de la naturaleza "inocente" de las "idolatrías" de los nativos americanos del que otros teólogos misioneros (Las Casas, Zumárraga,…) también fueron partícipes, aunque recurriendo a otros métodos y argumentos. Las secciones finales están dedicadas al estudio de la consolidación de los argumentos forjados por los teólogos salmantinos en el continuo debate sobre la evangelización y la dominación española sobre las Indias. Se retoman, en concreto, algunos escritos de dos figuras destacadas: Alonso de la Veracruz y Domingo de Salazar, para mostrar cómo, bajo la influencia de Vitoria y Soto, sus profesores en la Universidad de Salamanca, Veracruz y Salazar adaptaron algunas de sus ideas a los contextos misioneros de América y Asia.
El propósito de este artículo es discutir, en un primero momento, en que medida los maestros vinculados a la Universidad de Salamanca y a su correspondiente Escuela de Salamanca contribuyeron para la validación de un saber relacionado a los descubrimientos que permitió pensar una nueva configuración geográfica de la Tierra. En un segundo momento, mostraremos como la universidad salmantina, junto con otras instituciones de saber, operaron como un centro de actividad ‘científica’ que estuve a servicio de los proyectos de la monarquía española.
The practical aim of this work is twofold. Firstly, it is to construct a theory of language based on historical-materialist premises, i.e. a theory which stresses the sociality and historicity of language, and finds in them the fundamental characteristics which make language one of the central phenomena of human life. Such a theory is inherently counterposed to the dominant theories and philosophies of language in the last century, be they Saussurean, idealistic, structuralist, psychologistic or Chomskyan etc. It also rejects vulgar materialistic accounts of language, where language is seen merely as a “reflection” of the economic base of society, as well as the version proposed in Stalin’s short pamphlet, Marxism and Linguistics, which sees language merely as a means of communication, regardless of society or class, therefore neutralised and consequently branded irrelevant for Marxist theory. In short, the first aim would be showing what language is not and what it cannot be by showing what it is.
The second aim is related to Marxist theory in general. Following the presuppositions of this work, a Marxist account of language proves to be an immensely important field of research for Marxism. The reasons are fairly simple, if one is willing to accept them: language is a certain type of social practice, it is related to the way people act, which also means that it is interconnected with consciousness, i.e. to the way people think and to the content of their thought. Language is ideological and political; it is an element of class rule and class struggle. Thus, understanding language should be of utmost importance for any socialist revolutionary project, as ideological struggle is central not only to a revolutionary period, but, perhaps even more, to a period where revolution is not even in sight. I do not wish to derogate other Marxist fields of research, but, on the contrary, to simply insist on their equal importance. Ideological phenomena should not be a secondary or inferior object of research to strictly economic phenomena, or vice-versa. In reality, those phenomena form a dialectic unity; only if theory follows suit, can a pregnant Marxist philosophy be formed.
Ten years ago, neuroscientists began to study cultural phenomena by using functional MRI. Since then the number of publications in this field, termed cultural neuroscience (CN), has tremendously increased. In these studies, particular concepts of culture are implied, but rarely explicitly discussed. We argue that it is necessary to make these concepts a topic of debate in order to unravel the foundations of CN. From 40 fMRI studies we extracted two strands of reasoning: models investigating universal mechanisms for the formation of cultural groups and habits and, models assessing differences in characteristics among cultural groups. Both strands simplify culture as an inflexible set of traits and specificities. We question this rigid understanding of culture and highlight its hidden evaluative nature.
Luis de Molina (1535-1600) grants slaves a legal status through which they can take up a position with respect to their masters between equivalent legal entity and legal object. Here, what is decisive is the figure of the subjective right, which both for Molina and modern proponents of this legal concept describes the 'right per se'. According to Molina's definition of ius, the denial of a subjective right or the hindrance of exercising an individual right represents an injustice. The rights granted to a slave in virtue of his being regarded a human being (despite the condition of slavery) serve to protect the slave against unjust acts. Molina does not distinguish the slave as a legal entity as separate from his master insofar as the slave should be protected against injustices committed against him or his property; injustices for which he would be entitled to compensation. Yet, the slave is not able to stake his claim to a particular right because it is not possible for him to take the matter to court. His natural law justified coequal legal status with respect to his master is limited in such a way by the positive legal order (by means of which slavery is generally made possible) that he is to be held legally incompetent as a legal entity with regard to defending and enforcing his 'qua homo'-legal rights. This precarious situation is due to the complicated legal intermediate position of a human legal entity, which, at the same time, represents the legal object of another person.
Aufgrund des Beschlusses des Fachbereichsrats des Fachbereichs Evangelische Theologie (FB 6) vom 19. Juni 2013, des Fachbereichsrats des Fachbereichs Sprach- und Kulturwissenschaften (FB 9) vom 24. April 2013 und 22. Mai 2013, des Fachbereichsrats des Fachbereichs Neuere Philologien (FB 10) und eines Umlaufverfahrens der an dem Abschluss Doktor der Philosophie/Doktorin der Philosophie (Dr. phil.) beteiligten Fachbereiche 3 - 11 im August/ September/Oktober 2013 wird die Ordnung zur Erlangung des akademischen Grades eines Doktors der Philosophie (Dr. phil.) oder einer Doktorin der Philosophie (Dr. phil.) vom 26. Juni 2001 (Staatsanzeiger Nr. 46/2001, S. 4.026 ff.) in der Fassung vom 7. August 2013 wie folgt geändert:
Aufgrund von § 44 Abs. 1 Nr. 1 des Hessischen Hochschulgesetzes vom 14. Dezember 2009 (GVBl. I S. 666), zuletzt geändert durch Gesetz vom 27. Mai 2013 (GVBl. S. 218), hat der Fachbereichsrat des Fachbereichs Philo-sophie und Geschichtswissenschaften der Johann Wolfgang Goethe-Universität Frankfurt am Main am 30. Ok-tober 2013 die nachstehende Ordnung beschlossen:...
Sanctions placed upon airlines and other operators transporting persons without the required paperwork are called ‘carrier sanctions’. They constitute a key example of how border control mechanisms are currently being outsourced, privatized, delegated, and moved from the border itself to new physical locations. These practices can lead to a phenomenon referred to in this paper as ‘hidden coercion’. This paper argues that, while hidden coercion is commonplace in the reality of migration policy in most states, it is so far neglected in theoretical discussions of state coercion. Moreover, the discussion of carrier sanctions demonstrates that this neglect is problematic, since hidden coercion is not justifiable even within a framework that legitimizes state border coercion.
Philosophy is essentially dialectical. One gets into a dialectic by a puzzle, an aporia in thought and understanding. The point of philosophizing is not (necessarily) to get hold of the ultimate, objective, and immutably correct answers. The point is rather to come to be able to see one’s way out of the aporia, and to understand how one got into it in the first place.
The essay that follows – which I am submitting as my dissertation – is dialectical in two senses. As a piece of philosophizing, the essay is guided by a problem, the problem of understanding how laws of nature are possible, and how it is possible for us to know them. The movement of thought generated by attempts to get out of the problem then yields some ideas that do not stay in the original context in which the problem was felt to exist. Two important ones are, first, perceptual experience is not the only ultimate source of warrant we have for empirical knowledge claims, and second, perceptual experience is not the only epistemically significant experience we can have. Both are consequences of the idea that the mastery of skills is a form of interaction with nature that provides epistemic warrant for nomological claims. I shall leave it to the epilogue to examine how this view of skills contrasts with the ways skills are ordinarily thought of in philosophy and the implication of it for empiricism.
The other sense in which the essay is dialectical is more interesting, and it has to do with the way in which I approach the problem that got me into started, namely, by paying special attention to the dialectic exchange between the realists and the antirealists about the laws of nature. Antirealism about the lawfulness of nature has experienced something like a post-Humean revival since the publication of van Fraassen’s The Scientific Image. Most, including me, have strong realist intuitions about nomological “connections” in nature. Philosophical positions that are strongly counterintuitive have mostly not ended well in history. So it becomes something of a puzzle why antirealism about laws of nature manages to enjoy popularity every now and then.