910 Geografie, Reisen
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Dans la géographie linguistique et culturelle de l’Afrique de l’Ouest le monde mandé est situé dans la partie Ouest du continent avec son point capital au cours supérieur du Niger. Au Burkina Faso, les groupes mandés ne sont qu’une petite minorité. Vu de tous ces deux coté, le Mandé au Burkina Faso semble donc être un sujet marginal: avec le Burkina se trouvant au bord du monde mandé et avec les groupes mandés étant une minorité dans les sociétés burkinabé. Donc, pourquoi est-ce que nous avons quand même posé les groupes mandés du Burkina Faso au milieu d’un projet pluridisciplinaire et pourquoi est-ce que nous tendons à présenter ici nos élaborations sur ces groupes?
Pendants les années 1997 et 1998, un groupe des chercheurs de SFB 268 a effectué, dans la région de l’Atakora, des recherches botaniques, ethnologiques et géographiques concernant l’histoire du peuplement. Les travaux étaient concentrés sur la partie ouest de la région, c’est-à-dire le triangle Boukombé, Natitingou, Toucountouna. En résultat, il est possible aujourd’hui de faire une chronologie relative à l’histoire du peuplement dans cette région. En contraire, il manque toujours une chronologie absolue, pour cela il faut encore des recherches approfondies. Pourtant nous allons proposer, dans le cours de cette contribution, des hypothèses montrant le cadre, dans lequel une périodisation peut être possible.
Interdépendance du potentiel d'exploitation et la structure d'habitat dans la région de l'Atakora
(2000)
Le département de l’Atakora est une région très contrastée et jusqu’à présent très peu explorée. Son élément le plus saillant est la Chaîne de l’Atakora, une des rares élévations montagneuses de cette partie de l’Afrique occidentale. Le haut-plateau de l’Atakora est caractérisé par une densité de la population relativement basse, comparée au reste de la région, et une végétation variée, qui est jusqu’à présent extrêmement mal connu. Il contraste fortement avec son piémont à l’ouest de la chaîne qui est très densément peuplé et exploité de manière intensive. Notre recherche a été consacrée à la question de savoir si ce sont des facteurs dépendant du géopotentiel ou plutôt des données socio-économiques qui sont responsables pour la disparité actuelle de ce paysage. Partant de l’hypothèse que non seulement les conditions socio-économiques mais aussi les conditions naturelles sont beaucoup plus favorables dans le piémont que sur le plateau, nous avons - par une approche interdisciplinaire - effectué une analyse et une évaluation de ces facteurs. Des méthodes de la télédétection, de la pédologie, de la botanique et de la géographie agraire ont été employées.
Summary and evaluation
(2000)
The geographical analysis of the Savannah Zones of north-eastern Nigeria revealed a basic insight on the differentiated development at the meso-regional level: The northern districts had a much lower population increase than the average. It was already arid land before the dramatic reduction of precipitation since the late 1960s. The quality of the soil for farming is rather poor despite specific minerals which give grass during the very short growing season a higher nutritional value than further south. Through studies at the local level, it became evident that on one side this is an area of out-migration of the local population but on the other side we have to register the influx of migrants from the even more dryer northern districts including Niger Republic. The rate of urbanisation in Nigeria increased rapidly from 15 to 36 %. Northern capitals like Kano and Maiduguri multiplied their number of inhabitants seven times but were overtaken by Gombe’s growth. In any case they are centres of social and cultural change as the preliminary findings of H. BALZEREK concerning the boom-town Gombe revealed. But social tensions seem to be inevitable as religious movements not only in big towns like Kano but even in Gombe were already analysed by WATTS (1993, 61). The bearer/ carriers of this movement are landless people who did not migrate to new land in the country side, they are hoping for new jobs in an urban environment. The social structure has changed since the time of the old Hausa towns, but their reliance on surplus of labour force appears to have continued.
L’Afrique, de par la diversité de ses écosystèmes, de la richesse de ses ressources et de par la confrontation de deux conceptions d’aménagement, l’une africaine l’autre externe, offre à la télédétection satellitaire l’un des meilleurs champs d’application. Cependant, une conscience claire des besoins spécifiques en informations par rapport aux objectifs à atteindre manque. Ceci est dû à l’insuffisance d’une politique de développement cohérent, dont la dimension spatiale n’est rien d’autre que l’aménagement du territoire. Tel est le sens de ce travail qui offre deux études de cas: Compiéna dans le département de Pama, province du Gourma et Leo dans le département de Léo province de la Sissili. L’exploitation des données satellitaires concernant les zones d’étude Compiéna et de Léo s’est faite en l’absence ou insuffisance de certaines données de base nécessaires. Cependant, elle complète ces dernières ou pallie en partie à ces défauts, permettant ainsi une bonne connaissance de la réalité spatiale du terrain. Ceci a conduit à l’objectif recherché, consistant à évaluer les besoins en informations pour l’aménagement de Compiéna et de Léo.
Dans les sociétés peules, des migrations de toutes dimensions jouent traditionnellement un rôle très important. Elles sont le résultat d’un processus complexe de prise de décision. Notre contribution vise à fournir des informations sur les motifs qui influencent ces décisions, et à partir de quels concepts ces motifs sont générés. Un élément central dans ce processus est l’environnement. S’il y a quelque peu un environnement ou une culture peule homogène, il n’y a cependant pas de conception peule de l’environnement. Leur conception est modifiée lors de chaque intégration des Peuls dans un nouvel environnement. Migrer signifie se rendre dans un nouvel environnement, où les concepts existants doivent par conséquent être adaptés aux nouvelles conditions. Par la suite, nous allons montrer à l’exemple des Peuls agropastoraux de différents milieux naturels et sociaux du Burkina Faso, Bénin et Nigeria dans quelle mesure les connaissances de l’environnement peuvent influencer les décisions migratoires. A l’exemple de la végétation, on examinera à travers quels concepts cet environnement, plus précisément l’environnement physique, est classifié et évalué. Finalement il sera présenté comment les migrations influencent les concepts environnementaux et comment ceux-là se reflètent dans la langue.
Les concessions chez les Bisa, dans la Province du Boulgou (sud-est du Burkina Faso), sont des exemples représentatifs de l’architecture traditionnelle soudanienne: un rassemblement de cases rondes de glaise d’un diamètre d’environ 3 mètres, couvert d’un toit de paille. Les concessions sont entourées par un mur de glaise et on ne peut y entrer ou en sortir que par une seule entrée. On ne découvre leur complexité que seulement après y être entré. C’est seulement à ce moment-là que l’on peut voir le dédale de cases et de cours, séparés par de petits murs et des couloirs. La concession du chef de Bangagou, chez qui nous avons habité durant l’automne 1994 pendant quelques mois, compte parmi les plus grandes de la région. Pendant les premières semaines de notre séjour, il nous a fallu comprendre son histoire et sa structure. Notre premier objectif était de dessiner un plan de la concession. Ce projet s’est révélé plus difficile que prévu. Le terrain étant si plat, nous n’avons pu voir la concession d’en haut. L’achèvement de ce plan n’a été possible que parce que les habitants nous ont donné libre-accès à ces lieux. La vérification de l’esquisse fut possible en décembre, lorsque nous avons eu la chance de faire un vol au-dessus du terrain et de prendre des photos aériennes. Parallèlement, nous avons mené une enquête auprès des habitants afin de connaître leurs relations avec les habitants des autres cases, selon leurs descriptions.
Le Burkina Faso connaît une urbanisation relativement modérée. En effet, selon le recensement de décembre 1985, le taux d'urbanisation s'élevait à 13,6% et cela en tenant compte des seize centres secondaires de plus de 10.000 habitants. En se basant sur les 119 localités de plus de 5.000 habitants, ce taux dépasse à peine 27%. Or des pays tels que la Côte d'Ivoire, le Ghana et le Sénégal présentaient au même moment des taux de 45 à 50%. Cependant la taille et le nombre des centres urbains ne cessent de croître. Mais jusqu'à présent, le pays ne compte que deux principales villes: Ouagadougou et Bobo Dioulasso avec respectivement 441.514 et 228.668 habitants soit 70% environ de la population urbaine nationale. Les estimations de 1992 donnent à Ouagadougou 842.000 habitants et environ 400.000 à Bobo-Dioulasso. Ouagadougou, la capitale est sans doute le pôle le plus développé avec une armature urbaine assez complète, des activités et des fonctions diversifiées. Le développement urbain est ici plus perceptible qu'ailleurs, il en est autant des problèmes: équipements insuffisants et inadaptés, marginalisation des populations démunies, destruction du patrimoine naturel, forte croissance démographique. Les problèmes environnementaux sont multiples et se manifestent différemment avec plus ou moins d'acuité. C'est cet aspect précis que nous allons analyser.
Toponyme als Zeugen der Vergangenheit : Untersuchungen im nordnigerianischen Bergland der Hausa
(1995)
Toponyme können aufmerksamen Beobachtern wertvolle Hinweise auf Lebensweise und auch auf Identität oder Herkunft von Bewohnern bzw. früheren Siedlern einzelner Landstriche geben. Beispiele hierfür sind die Bezeichnungen für Naturerscheinungen wie Landschaftsformen, Flüsse bzw. Flußbetten und Gebirge, aber auch für vom Menschen geschaffene Gegebenheiten wie Siedlungen, Anbauflächen oder zu anderen Zwecken veränderter und damit genutzter Naturraum. Toponyme lassen sich jedoch nicht immer leicht entschlüsseln. Oftmals ist ein Grundwissen zur Geschichte und Lebensweise der Menschen, in deren Umfeld die Namen gebraucht werden, unerläßlich, um auf Besonderheiten überhaupt aufmerksam werden zu können. Dieser Beitrag beschäftigt sich mit der Bezeichnung von Bergen, einzelnen Steinen, von Steinformationen und vom Menschen angebrachten Veränderungen an Steinen und Felsen. Als Untersuchungsraum dienten die ausschließlich von Hausa besiedelten Gebiete nördlich der Provinzhauptstadt Dutse (Jigawa-State) sowie die Region südlich von Gano, die rund 40 km südöstlich von Kano in Nordnigeria liegt.
Probleme der Nutzung von Weideressourcen bei den Shuwa-Arabern im nigerianischen Tschadbecken
(1995)
Die Weidewirtschaft, wie die Shuwa-Araber des Tschadsee-Gebietes sie betreiben, ist ein Forschungsbereich, in dem sich die Wechselbeziehungen zwischen Mensch und Umwelt in einem Savannen-Habitat besonders deutlich nachvollziehen lassen. Die Weidepflanzen sind von Klima- und Bodenverhältnissen und die Herdentiere in einem nicht unerheblichen Maße von geomedizinischen Faktoren wie der Verbreitung der Tsetse-Fliege abhängig. Der Mensch beeinflußt durch sein wirtschaftliches Management, die Auswahl und Zucht seiner Haustiere, die Frequentierung von Weidearealen und Transhumanzrouten, künstlich angelegte Buschfeuer, Anlage von Forstreserven etc., die naturräumlichen Gegebenheiten. Er wirkt mit diesen Eingriffen auch auf Selektionsmechanismen in der Pflanzenwelt hin und gestaltet die Savanne gewissermaßen zu einer "Kulturlandschaft" um. Die Savanne Westafrikas dient zu einem Großteil als Weideland, und bei dieser Nutzungsart tritt die Interdependenz zwischen dem Menschen und seiner "natürlichen" Umwelt besonders deutlich hervor. Es ergibt sich daraus eine Vielzahl von Fragestellungen, die hier zumeist nur anzusprechen, aber nicht erschöpfend zu beantworten sind. Einige der Grundfragen für diese Thematik können wie folgt formuliert werden: - Wie "natürlich" ist der als Weideland dienende Savannenraum? - Mit welchen naturgegebenen Determinanten werden die Tierhalter konfrontiert? - Über welche kultur- bzw. ethnospezifischen "Pläne" verfügen sie, um sich den Bedingungen ihrer ökologischen Nische anzupassen? - Trägt die viehwirtschaftliche Produktion eher zur Zerstörung oder zur Bewahrung der natürlichen Ressourcen bei?
Studies on land use in Africa have usually been carried out by ethnologists or human geographers and were rarely concerned with data on the physical conditions of soil. There is hardly any issue, however, where interdependencies between natural and cultural factors are as evident as in the topic of land use. For this project the approach of three ethnologists, Braukämper, Kirscht and Platte, was therefore combined with the analysis of Thiemeyer as physical geographer. The area of research is the Local Government Area of Marte in the Nigerian State of Borno. As part of the Chad Basin this region is mainly characterised by clay sediments which are commonly labelled firgi by its inhabitants. Beside this general term, however, the local peasants clearly distinguish five types of soil (Kanuri: katti), to which different physical conditions and qualities with respect to their cultivation are attributed. The question arose how far can this popular knowledge, accumulated by agricultural experiences over generations, be correlated with scientific data. That is why samples of the mentioned types of soil were collected by the members of our team and analysed in the laboratory of the Frankfurt Institute of Physical Geography. The detailed presentation of this analysis has to be preceded by the classification of the respective soil types in the terminology of the indigenous farmers.
En se concentrant sur le thème „Migration rurale et gestion des ressources naturelles“, cette section du symposium à tiré l’attention sur un aspect très important concernant le changement de l’espace naturel et culturel dans l’air rural de Burkina Faso. A partir de cas régionaux différents au Burkina Faso, les études pluridisciplinaires se concentrent sur des aspects centraux du complexe migratoire: • les types d’appropriation de terre • l’impact de la coexistence des droits fonciers traditionnels et modernes • la dégradation des ressources naturelles
Le SIG-BF est destiné comme outil pour la visualisation et l’analyse des informations spatiales pour les scientifiques du «SFB 268 – Histoire des cultures et des langues dans l’espace naturel de la Savane Africaine» à l‘Institut Géographie Physique de la Johann Wolfgang Goethe-Universität à Frankfurt am Main et leurs collèges de l’Université de Ouagadougou. En outre, les données peuvent être utilisées par d'autres dans un but scientifique. La copie et la diffusion des données sont permises si la source est clairement mentionnée. L’usage professionnel et le traitement des données du SIG-BF dans un but commercial, soit sous forme imprimée ou sous forme digitale, nécessite la permission écrite de l’Institut Géographie Physique de l’Université Francfort. Les données spatiales qui sont assorties dans le BF-SIG sont basées sur plusieurs sources. En général, il y sont groupées des informations de l’environnement naturel et anthropique à l’échelle nationale de Burkina Faso. En majorité ce sont les données des cartes topographiques et thématiques du pays et quelques données statistiques. La connaissance des paramètres (p. ex. échelle, age, projection) des sources des données est une condition importante pour l'évaluation du degrée d'exactitude des résultats des analyses SIG. Quant à ca, quelques notes importantes sont démontrées dans la 2ième chapitre de ce texte. Les sources indiquées dans la table de matières (3ième chapitre) sous la forme des ‘numéro de la source’ sont précisées dans la 4ième chapitre.
Au nord du Burkina Faso aucune autre époque culturelle, à l'exception des temps modernes, n'a laissé autant de traces sur une aussi grande surface que l’Age de Fer. L'étude de cette période joue alors un rôle important dans la reconstruction de l'histoire culturelle du Sahel. D’après les dates obtenues dans nos fouilles différentes, l’Age de Fer s'étend de la fin du premier millénaire BC jusqu'au milieu du 14e siècle AD. Les recherches du projet multidisciplinaire G4 du SFB 268 visaient les questions suivantes: Quelle est l’apparence physique des collines d’occupation et quelle est leur répartition dans la région ? En quoi consiste la culture matérielle trouvée sur les sites et qu’est-ce qu’elle permet de dire sur la vie quotidienne? Comment l’interaction entre l'homme et l'environnement se présentaitelle à l’époque et quelles étaient les ressources naturelles exploitées? Quelle population occupait les buttes, et quels indices l’étude de l’histoire du peuplement peut fournir comme causes de leur abandon final? Le vaste champs d’études ouvert par ces questions impose une approche multidisciplinaire. Les résultats qui seront présentés cidessous n'ont pu être obtenus qu'en coopération de l'archéologie, l'archéobotanique, l'archéozoologie, l'histoire et la géographie.
In a recent article dealing with the Tangale Peak or Kilang, as it is called in the local Tangale language, Herrmann JUNGRAITHMAYR presents an account narrated by a Tangale elder about the attempted ascent of that characteristic mountain by a British colonial officer and his subsequent death.1 Kilang mountain is a basaltic cone approximately 1300 m high, about 8 km southwest of Kaltungo, one of the principal settlements of the Tangale people, in southern Bauchi State, northeastern Nigeria. During a research stay at the National Archives in Kaduna in November 1993 I was able to consult a file containing various documents relating to this incident in detail.2 In the following note I present an outline of the events based on the evidence in the colonial records. By doing this I not only intend to shed more light on a tragic event from the very early years of the colonial era. The picture of the circumstances emerging from the investigations of the colonial authorities may serve as a background to the narrative by the Tangale elder presented in JUNGRAITHMAYR's publication.
The craggy and hilly Muri Mountains, which are situated to the north of the Benue Lowlands, are an area with a complex pattern of settlement. This roughly 80 km long and 20 km wide mountainous area is inhabited by about 20 ethnic groups belonging to different language families. The present ethnic and linguistic situation is understood as the result of a complex series of migrations and adaptations to the natural environment. This paper will describe actual movements of settlements and consider certain conditions which may have been relevant in the decision to leave a settlement or choose a new one. The most important conditions will be the accessibility of arable land and/or pasture, accessibility of water, and conditions dependent on the historical and political context such as affording of security and possibility of defence. Therefore an interdisciplinary approach seems to be appropriate to evaluate the natural conditions for settlement and cultivation of the various places from a geographer´s point of view, to interrogate into the historical aspects and motifs of the settlement patterns and migrations with a thorough ethnological background, as well as to gain additional information from a linguistic analysis of toponymes and contact phenomena of the languages spoken in the area.
Gutes wissenschaftliches Arbeiten: Wieso? Weshalb? Warum? Ein Universitätsstudium bedeutet vielfach Selbststudium: eigenständiges Recherchieren und Aufbereiten von Informationen sowie die Vermittlung dieser Informationen und gegebenenfalls eigener Erkenntnisse in schriftlicher oder mündlicher Form. Der vorliegende Leitfaden bietet dabei eine Hilfestellung. Zum einen werden Tipps für ein effizientes und erfolgreiches Studium vorgestellt und zum anderen formale Anforderungen an gutes wissenschaftliches Arbeiten erläutert und begründet. Viele der vorgestellten Techniken und Methoden werden Sie auch bei Praktika, ehrenamtlichen Tätigkeiten oder im Berufsleben nutzen können. Der erste Teil widmet sich der Recherche. Die Literatur- und Quellensuche ist eine Voraussetzung für jede wissenschaftliche Arbeit. Ziel ist es, relevante Literatur und (Daten-)Quellen für die Bearbeitung einer Fragestellung im vorgegebenen zeitlichen Rahmen möglichst vollständig zu erfassen. Anschließend müssen aus den verfügbaren Informationen diejenigen ausgewählt werden, die sowohl hinsichtlich ihrer Qualität als auch ihrer inhaltlichen Bedeutung für das eigene Thema besonders wichtig sind und daher intensiver bearbeitet werden sollen. Sie finden in diesem Teil Antworten auf Fragen wie die folgenden: • Wann nutze ich Lehrbücher, wann wissenschaftliche Aufsätze? • Wie grenze ich meine Literatur- und Datensuche ein? • Welche Hilfen bietet das Internet? Im Anschluss an die Recherche und Aufbereitung der Materialien folgt die Erstellung von Texten in Form von Protokollen, Hausarbeiten, Referaten, Projektberichten oder einer Abschlussarbeit. Wie immer gilt auch in diesem Fall: Das Wissen, das man im Kopf hat, ist „Schall und Rauch“, wenn man es nicht vernünftig zu Papier bringen oder im Vortrag vermitteln kann. Der oft gehörte Satz „Ich habe eigentlich alles gewusst und konnte es ‚nur‘ nicht rüberbringen“ ist absurd, denn nichts von dem, was Sie nicht kommunizieren können – schriftlich oder mündlich (s. u.) – kann Gegenstand einer Auseinandersetzung, einer Diskussion oder einer Bewertung sein. Der zweite Teil dieses Leitfadens widmet sich daher der Frage, wie man Wissen schriftlich kommuniziert. Dafür gibt es zum einen formale Regeln, die es einzuhalten gilt (Zitierweisen, Gliederungssystematik, Umgang mit Abbildungen etc.), und zum anderen Konventionen, die eine gute schriftliche Arbeit erfüllen muss: Gibt es eine Fragestellung und wird diese stringent hergeleitet? Gibt es einen roten Faden und wird dieser über die ganze Arbeit verfolgt? Werden theoretische Überlegungen sinnvoll mit empirischen Arbeiten verknüpft? Qualitätsstandards, die Sie bei jeder Beurteilung eines Lehrbuches oder einer wissenschaftlichen Arbeit zu Grunde legen und die Sie ebenso auch von Ihren eigenen Arbeiten fordern sollten. Gespräche mit Geographinnen und Geographen, die in der Wirtschaft oder bei öffentlichen Einrichtungen arbeiten, zeigen stets eines ganz deutlich: Bei der Frage, ob man sich bei Einstellungsgesprächen für oder gegen eine Bewerberin oder einen Bewerber entscheidet, kommt es erst in zweiter Linie auf die fachlichen Qualifikationen an. Diese werden eigentlich vorausgesetzt. Sie sind die Hürde, die man schon bei der schriftlichen Bewerbung nehmen muss. Geographisches Know-how und thematische Spezialisierungen entscheiden also darüber, ob man eingeladen wird oder nicht, nicht aber, ob man den Job letztlich bekommt. Hierfür sind die „soft skills“ entscheidend: Passen die Kandidaten ins Team, können sie sich gut verkaufen, wirken sie souverän? Kurz: Ob man detailliert darüber Bescheid weiß, wie z. B. Stadtmarketing funktioniert, ist nur dann relevant, wenn man dieses Wissen auch vermitteln kann. Der dritte Teil des Leitfadens widmet sich deshalb genau diesen Fragen des „Präsentierens“. Denn wo kann man dies besser lernen als in einem Seminar oder auf einer Exkursion: Wie strukturiere ich einen Kurzvortrag prägnant und spannend (Beispiel Bewerbung: „Erzählen Sie mal in fünf Minuten, was Sie in Ihrem Studium gemacht haben“), wie gliedere ich einen längeren Vortrag, wie gestalte ich einen Exkursionsblock und wie setze ich sinnvoll didaktische Hilfsmittel der Visualisierung ein? Dieser Leitfaden hilft Ihnen bei der Bewältigung Ihres Studiums. Da aber nichts perfekt ist und alles noch besser geht, würden wir uns über kritische Anmerkungen und kreative Verbesserungsvorschläge sehr freuen. Bitte wenden Sie sich – schriftlich oder mündlich – an die Lehrenden des Fachs.
Der Anteil der Älteren an der Gesamtbevölkerung nimmt ständig zu. Schon 1986 hatten die über 60-Jährigen in der Bundesrepublik einen Anteil von 20% erreicht. Im Jahre 2000 wird er nach heutigen Schätzungen auf 25% angestiegen sein. Es sind aber nicht die zahlenmäßigen Veränderungen allein, die zur Kenntnis genommen werden sollten. Auch das "Altersbild" hat sich - teils gravierend - geändert. Die neue Generation ist selbstbewußt, sie hat keineswegs das Bedürfnis, sich zur Ruhe zu setzen, sondern will aktiv am Leben teilnehmen. Das zeigt sich durch einen neuen Lebensstil und ein verändertes Freizeit- und Konsumverhalten. Als Verbrauchergruppe wird die ältere Generation für die Wirtschaft zunehmend interessanter. Die vorliegende Untersuchung zeigt, daß es sich bei den reisenden Senioren überwiegend um Individualisten handelt, denn 65% treffen ihre Reisevorbereitungen allein, die übrigen bedienen sich der Reisebüros und anderer Reiseveranstalter. Weitere Fakten sind: Die Mehrzahl der Befragten reist zu zweit, mehrmals im Jahr für 2-3 Wochen. Der deutschsprachige Raum wird bevorzugt, aber auch das übrige Europa und überseeische Gebiete sind gefragt. Man wohnt am liebsten in Hotels und Pensionen. Bei den Wünschen für die Urlaubsgestaltung steht die Erholung an erster Stelle, verbunden mit Wandern, Spaziergängen und Teilnahme an kulturellen Veranstaltungen. Eine Betreuung am Urlaubsort, z.B. pflegerische oder seelsorgerische Betreuung, wird nur von wenigen gewünscht. Auf Unterhaltungsprogramme wird allerdings großen Wert gelegt. Seniorenreisen sind gefragt, werden aber relativ wenig in Anspruch genommen. Unterkunft und Verpflegung sollen stärker den Wünschen der Älteren angepaßt werden. Die Höhe des zur Verfügung stehenden Reisebudgets ist sehr unterschiedlich, im Schnitt bis 3.000,-- DM pro Person. Bei Mitgliedern von Altenclubs und Behinderten liegt der Betrag bei ca. 1.000,-- DM. Hier gibt es Zuschüsse aus Mitteln der Kommunen, Wohlfahrtsverbänden, Kirchen u.a. Bei der Auswertung der Fragebogen zeigten bestimmte soziale Gruppen, wie z.B. Mitglieder von Altenclubs und Behinderte, wesentliche Abweichungen vom Gesamtergebnis: So ist beispielsweise die Reisedauer bei den Befragten aus Altenclubs durchweg kürzer - sie verreisen auch weniger oft. Die Beschäftigung im Urlaub wird mehr durch Spazierengehen und Wandern ausgefüllt und weniger mit kreativen oder sportlichen Aktivitäten als beim Durchschnitt. Ein größerer Anteil dieser Personengruppe äußerte das Bedürfnis nach Gesprächen (fast die Hälfte aller Befragten). 68% wünschen sich mehr Reiseangebote für Senioren, d.h. bequeme Anreise, bequeme Unterkunft (DU/WC), bessere und preiswertere Einzelzimmer (nicht zur Nordseite hin, nicht neben dem Fahrstuhl oder der Toilette, über der Kegelbahn oder der Disco). Sie wünschen sich aber Unterbringung und Aktivitäten am Urlaubsort nicht nur gemeinsam mit Gleichaltrigen. Auch der Wunsch nach "Seniorenteller" wird in dieser Personengruppe besonders deutlich. Weitere Wünsche beziehen sich auf das Rauchverhalten; es wurde mehrfach nach Nichtraucherabteilen in Restaurant, Bussen und der Bahn gefragt. In der Bundesrepublik gebt es etwa 3 Millionen Schwerbehinderte, ca. 45% davon sind über 60 Jahre a l t . Von der untersuchten Gruppe waren 83% Frauen. Diese Personen reisen zu 60% organisiert mit Vereinen und Verbänden. 41% benutzen überwiegend den Bus, zumeist behindertengerechte Fahrzeuge. 24% benutzen überwiegend die Eisenbahn. Die meisten bevorzugen Kurorte und Fremdenverkehrsorte. Dabei werden Plätze mit Einrichtungen für Behinderte, z.B. Rollstuhlfahrer gesucht und mehr Informationen darüber gewünscht. Der Wunsch nach pflegerischer Betreuung ist bei Behinderten mit 58% recht groß (z.B. Fahrzeuge mit Hebebühne oder durch eine Begleitperson). Ein weiteres Defizit ist bei vielen Schwerbehinderten auf der finanziellen Seite festzustellen. Die Untersuchung zeigt: 70% der Befragten geben weniger als 1.000,-- DM für Reisen aus. Für die Unterbringung bevorzugt dieser Personenkreis überwiegend Pensionen und Ferienwohnungen mit Voll- und Halbpension.