CompaRe | Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft
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Eveline Thalmann: Bertha von Suttner - eine Soziologin? - Bertha von Suttner: Soziologie und Politik - Der Jugendunterricht - Die Dummheit - Ein Wort an die antisemitischen Frauen - Die Frauen - Das Ideal eines Konservativen - Der Zeitgeist - Litteratur, Kunst und Wissenschaft - Eveline Thalmann: Personenverzeichnis - Beatrix Müller-Kampel: Bertha von Suttner : Internationale Bibliographie der Sekundärliteratur
'Zukunftswissen' und 'Begriffsgeschichte' ist der Schwerpunkte dieser Ausgabe des FIB. Vielleicht ist es ein Zeichen der Gegenwart, dass die sich wechselseitig bestimmende Trias Vergangenheit - Gegenwart - Zukunft sowie die im Zentrum klassischer Begriffsgeschichte stehende Epochenproblematik heute keineswegs mehr so einfach gedacht werden kann.
Le présent volume s'ouvre sur l'article programmatique d'Yvette Sánchez (Saint-Gall), qui se penche ici sur le faux entendu comme forgerie ou tromperie, tel que l’ont pratiqué à tour de rôle Cervantès, Borges et Max Aub en rappelant les liens étroits que le faux entretient avec la notion de fictionalisation. Si la traduction fait depuis plusieurs années l'objet d'une attention accrue de la part des littéraires, Martine Hennard Dutheil de la Rochère (Lausanne) montre dans sa contribution que la poétique traductive d'Angela Carter accorde une place particulièrement riche aux fautes de traduction dans son travail de réécriture des contes de fées de Perrault. Dans une perspective similaire, Angela Daiana Langone (Cagliari) montre que l'émergence du théâtre arabe moderne est jalonnée non seulement de fautes de traduction, mais également d’autres malentendus lorsqu'il s'agit d’adapter les exemples occidentaux, en l'occurrence Molière, à un contexte culturel pour lequel le théâtre est synonyme non seulement de modernité, mais aussi d'émancipation ; un fait que la contribution d'Oliver Kohns (Luxembourg) qui porte sur les enjeux de la modernisation dans la Turquie d'Orhan Pamuk vient illustrer à propos de son célèbre roman Le Musée de l'innocence, qui entretient lui aussi une relation marquée par des malentendus productifs avec la littérature occidentale. Que le contresens n'est pas seulement un moteur de la création, mais aussi un indicateur des aléas auxquels est soumis le savoir dès que l'écriture de création s'en saisit fait l'objet de la contribution de Sophie Jaussi (Fribourg), consacrée à l'écrivain contemporain Philippe Forest. Les malentendus sont en effet susceptibles de devenir les instruments de l'expression d'une résistance à toute forme d'hégémonie, que ce soit de la langue ou du pouvoir : telle est la thèse que défend Vidya Ravi Allemann (Fribourg) à partir d’une lecture croisée de deux nouvellistes postcoloniales, à savoir Nadine Gordimer et Anita Desai. Karl-Werner Modler (Baden) montre dans sa contribution que ce sont souvent des détails d'apparence anodine, comme la pantoufle de verre de la Cendrillon de Perrault qui se mue sous la plume de Balzac en une pantoufle de vair, qui permettent d'observer le travail d'une logique de substitution qui marque le régime de la littérarité. Dans l'article de Dimitri Tokarev (Saint Pétersbourg), ce sont les contacts culturels entre Russes et Français dans les années 1930, en l'occurrence le travail du Studio franco-russe, qui témoignent de la productivité des malentendus lorsqu'il s'agit de réfléchir ensemble sur des notions apparemment aussi universelles que celles d'humanisme ou d'intellectualisme. Le jeu avec des étymologies souvent fantaisistes et parfois même fausses est au centre de la contribution que Stefanie Heine (Zurich) consacre au poète américain Charles Olson et à sa production de projective verse qui est censée capter une langue en action qui crée de nouvelles significations. Que l'erreur peut même constituer un aspect essentiel de toute forme d’apprentissage, dans la mesure où il s'agit de transformer l'erreur en une occasion, pour l'enseignant, d'entrer dans la pensée de l'élève, est la thèse que défend Thomas Vercruysse (Genève) dans son article consacré au kairos en contexte pédagogique. Enfin, le dossier consacré à l'erreur productive se ferme avec la contribution de Sandro Zanetti (Zurich), qui évoque à partir de quelques exemples de Walter Benjamin et de Josef Guggenmos la créativité intrinsèque de l'acte d'entendre, puis de lire, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte. Dans une seconde section, plus courte, le présent numéro de Colloquium Helveticum accueille, éditées par Sophie Jaussi, des contributions choisies des journées du programme doctoral suisse en littérature générale et comparée, qui ont eu lieu en novembre 2015. Ces contributions, présentées plus en détail en tête de la seconde section, sont dues à Valérie Hantzsche, Lukas Gloor, Joëlle Légeret et Tea Jankovic. La rubrique "Varia" accueille quant à elle un essai de Monika Kasper, consacré à l'un des derniers poèmes de Celan, EINKANTER, qui donne forme à la rencontre entre la peinture de Rembrandt et la poésie de Celan. Enfin, le Colloquium Helveticum accueille Thomas Hunkeler désormais une section consacrée à de nouvelles parutions d'intérêt comparatiste. Cette dernière section, qui est appelée à se développer ces prochaines années, est dirigée par Joëlle Légeret.
Die Moderne hat ein neues Symbol kollektiver Identität hervorgebracht: den Kulturheros. Dichter, Künstler und Gelehrte traten teils neben sakrale oder politische Herrscher, teils lösten sie diese als nationale Autoritätsfigur ab. Anhand von Konstellationen, in denen Einzelne als Religionsstifter, Stadtgründer oder Nationaldichter Kultstatus erlangt haben, untersuchen die Autoren dieses Bandes Heroen wie Luther, Voltaire, Schiller, Wagner, Puškin oder Gagarin. Dabei interessieren sie sich nicht nur für die Genese des Kulturheros, sondern auch für dessen Nachleben. Ein besonderes Augenmerk gilt medialen Techniken und kulturellen Praktiken (wie Totenmasken, Bildnissen, Filmen oder Jubiläen), die die Figur des Kulturheros erst im Spannungsfeld von Kult, Kultur und Politik konstituieren.
Der vorliegende Band möchte mit seinen Beiträgen unter anderem die benannten medien-, genre- und gattungsspezifischen Zusammenhänge von Ästhetiken des Tabuisierten und insbesondere des Tabubruchs beleuchten, so dass der Aufbau des Bandes einer Unterteilung in literarische, (audio)visuelle und theatrale Inszenierungen des Tabus und des Tabubruchs folgt. Nach einer ersten theoretischen Annäherung an den Begriff des Tabus, seine Geschichte und Bedeutungszusammenhänge sowie seine Valenz für die wissenschaftliche Auseinandersetzung werden daher zunächst literarische Inszenierungen verschiedener Tabus und Tabuverletzungen im Vordergrund stehen, während im darauffolgenden Teil Tabus und Tabubrüche in (audio)visuellen Formaten fokussiert werden. Schlussendlich stehen Darstellungen des Tabus und des Tabusbruchs auf der Theaterbühne im Blickpunkt. Der Band geht zurück auf eine im September 2014 stattgefundene und von Studierenden des Masterstudiengangs Komparatistik/Vergleichende Literatur- und Kulturwissenschaft der Universität Paderborn initiierte Tagung zum Thema. Mit großem Engagement haben die Beteiligten eine Konferenz zu einem aktuellen und in den Kulturwissenschaften durchaus breit diskutierten Thema konzipiert und darüber hinaus couragiert die Ergebnisse erster eigener Forschungsprojekte zur Diskussion gestellt. Dieser Band präsentiert in diesem Sinne in der Hauptsache Beiträge von fortgeschrittenen Studierenden, die in diesem Rahmen erste Publikationserfahrung sammeln, darüber hinaus jedoch auch Aufsätze von jungen NachwuchswissenschaftlerInnen in der Qualifikationsphase.
Der Zeuge verkörpert eine Schlüsselfigur unserer Kultur und Wissenspraxis, obwohl das mittels Zeugenschaft generierte Wissen immer einen umstrittenen Status hat. In diesem Band werden verschiedene Typen und Formen des testimonialen Wissens diskutiert, kulturhistorische und systematische Perspektiven zusammengeführt und in ihren Verflechtungen zwischen epistemischem Wert und ethischer, politischer, sozialer, künstlerischer und religiöser Bedeutung beleuchtet. Im Fokus stehen dabei vor allem die Praktiken und Handlungsszenarien der Bezeugung, da sich in ihren Konstellationen und Dynamiken die Frage der Glaubwürdigkeit des Zeugnisses und die Optionen zur Etablierung eines Zeugenwissens entscheiden.
'Zeugenschaft' ist nach und nach zu einem wesentlichen kulturellen Muster geworden und der 'Zeuge' zu einer zentralen Figur, die eine gesamte Gesellschaft prägen. Die interdisziplinären und epochenübergreifenden Ansätze in Monographien oder in Sammelbänden lassen Zeugenschaft aber gleichzeitig als zutiefst kontrovers erscheinen, gerade weil sie aufgrund ihres interdisziplinären Charakters eigentlich nur umstritten sein kann. Schaut man sich die wissenschaftlichen Publikationen der letzten fünfzehn Jahre an, mag in der Tat die Variationsbreite der Begriffe 'Zeugnis' und 'Zeugenschaft' verunsichern. Einer derartigen Reichweite droht nämlich eine gewisse Unschärfe oder gar eine Art von Eklektizismus. In manchen jüngeren kulturwissenschaftlichen Studien scheint sogar lediglich eine indirekte, minimal konzipierte Zeugenschaftskonstellation in den untersuchten Objekten vorhanden zu sein, so dass die Begriffe des Zeugen und des Zeugnisses sich nahezu aufzulösen drohen. Die zentrale Rolle des Zeugen und der Status von Zeugenschaft in einem kulturellen und politischen Leben, in dem Wissen und Information stets als "ungewiss" (John Ellis) beschrieben werden, lassen die Klärung des Begriffs 'Zeugenschaft' und besonders die Frage nach ihrem 'Wert' als Instrument des Wissens und dessen Vermittlung umso dringender erscheinen.
Der Comic in seiner heute bekannten Form beginnt thematisch mit einer Flucht: Superman, der in den 1930er Jahren in den USA von Jerry Siegel und Joe Shuster als erste Superheldenfigur der Comicgeschichte erschaffen wurde, muss seinen Heimatplaneten Krypton verlassen und wird mit einer Rakete auf die Erde geschickt. Superman lebt dort wie ein Mensch; er versteckt seine übermenschlichen Fähigkeiten und setzt diese nur im Geheimen und für den Kampf gegen das Böse ein. Flucht und Exil, Fremdheit und Assimilation, dies sind bis heute bestimmende thematischen Signaturen des Mediums. Untrennbar sind diese mit der Herkunft der das Medium prägenden Personen verknüpft. Denn Superhelden sind nicht nur ein amerikanisches Phänomen, sondern vor allem ein jüdisches, so der Comic-Historiker Arlen Schumer mit Verweis darauf, dass Jerry Siegel und Joe Shuster Kinder jüdischer EinwandererInnen aus Europa waren. Julian Voloj, der ebenfalls den jüdischen Wurzeln des Mediums nachgegangen ist, spricht sogar davon, dass "amerikanische Juden aus der Not heraus ein neues Genre erfanden".
Diyalog 2017/1
(2017)
Die Ausgabe 2017/1 liegt Ihnen vor und wir freuen uns sehr, Sie hiermit begrüßen zu dürfen. Reich an Themen und Autorenskala sind die Beiträge in folgende Rubriken einzuteilen: Im Fachbereich der Deutschen Literatur ist zunächst die Auseinandersetzung mit dem Scharlatanmotiv in dem Roman 'Geschichte der Abderiten' von Christoph Martin Wieland interessant. Als zweitens ist Ingeborg Rapoports Autobiografie 'Meine ersten drei Leben' zu nennen, in der exemplarisch nachgewiesen wird, inwiefern Interkulturalität und Engagement Hand in Hand gehen. Hierbei tritt Rapoport mit ihrem interkulturellen Engagement als Antikolonialistin auf, Nazismus- und Holocaustkritikerin und besonders aber auch als eine den Frieden suchende Autorin, deren Denkweise in die Nähe des Levinasschen Humanismus gerückt werden dürfte. Das Thema des dritten Beitrags ist die Erforschung der Schönheitsauffassung in deutschen und türkischen Volksmärchen. Das Schöne bezieht sich indessen ausschließlich auf weibliche Figurentypen der Märchenwelt beider Erzählkulturen. Allgemein Literaturwissenschaftlich ist der umfangreiche Aufsatz über leserorientierte Literaturtheorien und über die Positionierung des Lesers, in dem davon ausgegangen wird, dass die Auslegung eines literarischen Textes ohne den Leser nicht möglich ist, wobei "der implizite Leser" von Wolfgang Iser, "der Leser als Textproduzent" von Stanley Fisch und "der psychoanalytische Ansatz" von Norman N. Holland im Mittelpunkt stehen. Dem Fachbereich Sprachwissenschaft sind zwei Beiträge zuzuordnen, die zum Teil erziehungswissenschaftlich bezeichnet werden können: In dem ersten Beitrag geht es um deutsche suffixale Adjektivbildungen, die scheinbar keiner Systematik entsprechen wollen, sondern anscheinend in ihrer möglichen Verwendung der Konvention gehorchen. Der zweite Beitrag fokussiert die Schwierigkeit von förmlich ähnlichen Wörtern im Lehr- und Lernprozess. Im Fachbereich Translationswissenschaft wird zunächst ein übersetzungsphilosophischer Ansatz thematisiert. Im zweiten Aufsatz geht es um die Bedeutung der Notation beim Konsekutivdolmetschen und deren Ausübung auf universitärer Ebene. In dem dritten Aufsatz werden die geschichtlichen Hintergrundinformationen sowie die Affinität und die Gegensätze der Septuaginta und vom Stein der Rosetta ausführlich diskutiert. Dem Fachbereich "Erziehungswissenschaft" lassen sich drei Beiträge zuordnen. In dem einen Aufsatz werden die Geschichte und der Werdegang des Fernunterrichts in der Türkei und die Möglichkeiten für das Lernen des Deutschen als Fremdsprache durch Fernunterricht dargestellt. Im zweiten werden Ergebnisse einer kontrastiven Studie zur unterrichtsbezogenen Sprechangst von DaF-Lernenden in der Türkei und in Deutschland präsentiert. Das Thema der dritten Studie ist es, die Fremdsprachenniveaus der Akademiker an der Trakya Universität nach gewissen demographischen Variablen zu messen und die Verwendungszwecke der Fremdsprachen zu beschreiben.